Actrices
Octavia Red. Sur la ligne

Octavia est pleine de vie, a plein de choses à montrer et à dire. Venue au porn par la scène alternative, la Californienne du Nord a dépassé les attentes et s’est imposée parmi les actrices mainstream les plus appréciées. Ses seins n’y sont pas étrangers, mais à 28 ans, la rousse gagne à être connue pour ses autres qualités que l’on va ci-dessous égrainer.
Déjà reconnue dans l’industrie
« Le sexe n’est pas censé être un truc sérieux ». Octavia Red est sérieuse. On ne badine peut-être pas avec l’amour, mais avec le sexe, oui. Et si depuis quatre ans, elle met ses principes en application, ce n’est pas pour faire n’importe quoi à côté. Chez les actrices post Covid, Octavia est même une des plus fiables, consciencieuses et appliquées. Que nous fait dire ça ? En premier lieu, sa filmographie et la liste de ses employeurs. Les plus grands noms lui ont fait confiance et pas qu’une fois. Un jour, une scène, un style. Le lendemain, voilà qu’elle rempile dans tout autre chose. Aucune mauvaise surprise. La Californienne est une actrice ductile, malléable qui peut se glisser dans n’importe quel personnage. « J’emprunte mon inspiration à Dita Von Teese, détaille-t-elle au micro du podcast Get Up Close de Bree Mills, mais j’ai regardé beaucoup de western aussi : le style pinup, moulin rouge, les contrastes entre le rouge vif et le noir, le make up appuyé… Il y a quelques années, je n’étais pas du tout comme ça ! J’étais grunge, emo, avec la moitié du crâne rasé, le style normal de San Francisco ».
Une histoire pas banale
Octavia est du Nord de l’État le plus peuplé des States. Rien à voir avec Los Angeles, son strass, ses paillettes et sa mentalité m’as-tu vu. Dans la baie de Frisco, l’ambiance est plus berlinoise. Les looks les plus improbables se croisent. Les attitudes sont militantes, les postures, politiques. Octavia sort de ce moule et faire du porno, mainstream au surplus, n’était pas inscrit à son agenda. « J’ai toujours regardé beaucoup de porno gay, plus que n’importe quel autre genre. Jusqu’à l’âge de 20 ans, j’étais un garçon manqué. Je ne savais pas m’habiller et encore moins me faire un maquillage. J’avais même du mépris pour celles qui ne pensent qu’à l’apparence. Maintenant, je peux dire que je ressentais un peu de jalousie. Elles arrivaient à se mettre en valeur et pas moi, donnaient l’impression d’avoir confiance en elles et moi non. Je n’ai plus le même jugement, mais je ne suis pas devenue une potiche pour autant. C’était une carapace pour me protéger, pour ne pas être emmerdée. J’étais dure, j’arrivais à regarder des images et des vidéos super violentes. Maintenant, je n’y arrive plus. Par contre, j’arrive à pleurer ».
Ecole à la maison, environnement strict, famille nombreuse et tutti quanti : Octavia dévoile au micro de Bree Mills une adolescence difficile sans trop rentrer dans les détails non plus. Son but est de faire pleurer les colosses, pas dans les chaumières. Sur les points techniques, elle s’en sort super bien. Premièrement, ses blowjobs sont profonds, sonores et baveux. La base. En plus, elle agrémente ses fellations de belles branlettes espagnoles. Il faut dire qu’elle en a les capacités. Son buste est celui d’une cariatide. Impossible de ne pas s’attarder dessus : Octavia possède parmi les plus beaux seins de la planète porn. « J’en suis si fière que je les exhibe partout, mais je les ai longtemps cachés. Je me souviens que lorsque j’ai porté mon premier bustier, en 2020, j’étais très mal à l’aise ». C’était à l’époque du Covid.
Une carrière réussie
Par la force des choses, elle lâche ses jobs alimentaires et se met sur les réseaux coquins. Ses vidéos font fureur. Octavia se pimp et prend conscience de sa féminité. Il faut peu de temps avant qu’un agent ne la déniche et lui propose de passer pro. « J’en avais très envie au fond de moi et depuis longtemps, insiste-t-elle devant Bree Mills. Mais j’ai eu un blocage jusqu’à presque 25 ans. Je n’étais pas assez bien dans ma peau ».
Omniprésente sur le stand de Naughty America aux deux derniers AVN Awards et nommée pour sa prestation dans le film « You Deserve Me » en 2024, produit par MissaX, la jeune femme a en tête de changer de casquette et d’élargir sa palette en se mettant sérieusement à la réalisation. Elle a les armes pour. « C’est difficile de se motiver, mais cette partie-là, j’adore ! J’en parle avec d’autres actrices. On aime toutes se faire maquiller, jouer et performer, mais ce n’est pas suffisant. On ne peut plus seulement se contenter d’attendre que notre agent nous appelle pour travailler. Il faut organiser les tournages soi-même et faire monter le buzz autour de sa propre marque. C’est ce que j’essaie de faire ». Pour l’instant, mission réussie.
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