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Libertinage

Attachez-la !

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Il y a les «désirantes» sexuellement actives qui prennent des initiatives en vous sautant dessus pour vous empoigner par la bite. Elles sont rares (et le plus souvent «pros»)

A l’opposé, ce sont les désirées: passives, inactives, mais dont le propre est de se «poser en gibier». Ces désirées ont l’apanage de soigner leur apparence tant physique que vestimentaire en vue de se faire remarquer et de provoquer un partenaire potentiel.

Car que fait la Belle au Bois Dormant ? Mais rien ! Elle ne fait absolument rien pour attirer son Prince Charmant. Elle est, pour le moins, inactive… si on ne tient pas compte des heures passées à se coiffer, se maquiller, choisir sa robe, se positionner alitée pour se mettre en valeur dans l’attente d’être «baisée» par un prince… Et que fait Anastasia Steele (dans les 50 nuances de Grey)? Rien sinon provoquer le désir du (richissime) chasseur mâle qui, comme tout autre Prince Charmant, se fait ensorceler par le charme féminin… En définitive, qui donc est maître ? Cendrillon ou King-Kong ? C’est à méditer.

Mais attention, toutes les femmes séduisantes ne veulent pas toutes être des proies. Certaines, (dont aussi les maîtresses dominatrices) veulent seulement aguicher. Leur plaisir se limite à un impérieux besoin d’être désirées qui les rassure. Allumeuses! S’écrieront certains ! Certes car, pour celles-là, il n’est pas question de se donner à quiconque. Ne tentez donc pas de les maîtriser… Méprisez-les !

Toutefois, une femme sexuellement passive n’est pas forcément asexuée, bigote ou complexée! Sans aller jusqu’au désir de viol, certaines «désirées» veulent plus que des compliments: elles souhaitent être prises, (voire soumises) par le partenaire… de leur choix ! L’initiative doit donc venir de l’homme choisi et la ferme démarche masculine souhaitée doit résulter (et témoigner) de l’intensité du désir provoqué par son charme féminin.

C’est l’attitude de la «désirée» envers vous qui vous permettra de savoir si ses charmes vous sont destinés ou pas. C’est cela qui est difficile à faire comprendre aux hommes d’autres cultures. Action directe, enlèvement et immobilisation ne sont donc pas applicables à toute nana simplement sexy !

dDésir d’entraves.

Des raisons psychologiques: des souvenirs de jeux de ligotage dans l’enfance, une déculpabilisation de l’acte sexuel et/ou une crainte d’agir sexuellement, fait que de nombreuses femmes aiment être immobilisées pendant que leur partenaire s’occupe d’elles.

Peut-être découvrirez-vous, même après des années de vie commune, que votre épouse devient une « bombe » sexuelle dès que vous l’attachez aux barreaux du lit. Pour l’initier, pour connaître ses désirs secrets, vous pourriez lui faire voir le splendide film « Atame » de Pedro Almodovar (1) et l’interroger sur ses impressions après la projection.

Si le désir de soumission au mâle est avéré, sachez que certaines préfèrent voir leur partenaire (nous ne parlons pas ici de bourreau) et que d’autres se sentent mieux en ayant les yeux bandés pour se laisser flotter dans leurs fantasmes. Pour savoir si l’aveuglement lui plaît, commencez par lui bander les yeux avant de la déshabiller et de l’attacher, vous le saurez tout de suite s’il est souhaitable ou pas, de lui bander les yeux.

L’immobilisation n’est absolument pas synonyme de maltraitance. Il s’agit de donner du plaisir à la partenaire, sans plus… mais beaucoup plus de plaisir, et peut-être même plus qu’elle peut en supporter, mais sans pour autant tomber dans le sadisme par excès de sensations fortes.

Attacher une partenaire (consentante, ça va de soi)

Immobilisez-la par les poignets et les chevilles. Utilisez des les bracelets de cuir vendus dans les magasins spécialisés « SM ». Oubliez les pinces à seins et autre outillage de torture, laissez ça aux adeptes du SM.

Installez discrètement, aux quatre coins du lit, des cordages qui vous permettront d’attacher les bracelets. Préparez le lubrifiant, les vibromasseurs, godes et éventuellement préservatifs dont vous aurez besoin. Cachez tout ça sous un oreiller et mettez le bandeau dans votre poche.

Choisissez un moment de vide, un moment où ni elle, ni vous, n’avez rien de particulier, rien d’urgent à faire (vérifiez si le rôti n’est pas au four). Eteignez GSM, téléphones, sonnette de l’appartement et autres bidules électroniques pour n’être pas « refroidis » en cours de séance.

Couvrez-lui les yeux par surprise pour lui indiquer que le jeu commence, puis déshabillez-la complètement en prenant tout le temps de l’admirer et de la caresser. Passez-lui les bracelets aux poignets et aux chevilles avant de la placer sur la couche dans la position que vous désirez.

Ne profitez jamais de son immobilisation pour lui faire pratiquer des actes qu’elle n’aime pas. Si elle n’aime pas la fellation ou la sodomie, ne tentez pas cela lors de ce jeu, sinon ce sera un flop magistral et jamais plus vous ne pourrez tenter de rejouer.

Lorsqu’elle est immobilisée, préparez-la en douceur avec une plume ou un pinceau en la caressant partout… (mais pas encore son sexe). N’oubliez pas ses seins, ses tétons, ses fesses, ses cuisses, le creux des genoux. Donnez-lui de temps en temps une petite claque sur les fesses, juste pour alterner douceurs et surprises et pour entretenir un peu d’anxiété. Posez des baisers partout mais faites-lui, de temps à autre, subir une légère morsure, pas trop fort, mais juste assez pour l’inquiéter quant à votre éventuelle intention « cannibale ».

N’approchez que très progressivement son sexe en caressant d’abord l’intérieur des cuisses et le bord du maillot, faites-la s’impatienter en revenant aux cuisses, aux seins, au ventre et retour. Elle ne doit jamais savoir où vous irez pour être surprise à chaque contact.

Son excitation va monter.

Elle va bien vite s’attendre à ce que vous vous occupiez de son sexe. Un sexe que vous négligerez longtemps pour la faire haleter. Entretenez son suspense. Elle doit être dans l’incertitude quant au à la suite de l’événement sexuel à venir.

Il sera difficile de juger du meilleur moment pour vous occuper sérieusement de son sexe. Ce ne peut être ni trop tôt (l’empressement est un gros défaut dans ce type de jeu) ni trop tard (observez-la bien pour repérer si, par malheur, elle commençait à s’ennuyer).

Ce n’est qu’après cette soigneuse préparation que vous pourrez en goûter les effets. Vous constaterez que, même sans encore avoir touché son sexe, elle sera autolubrifée, prête à vous accueillir.

Mais ne vous laissez pas tenter trop vite…

Résistez à votre désir. Il faut l’exciter plus encore. Ce n’est que le moment du cunni… le moment de savourer les effets de votre maîtrise de ses sens. Léchez-la, léchez-la encore, léchez-la longuement… Écartez ses lèvres et sucez-lui le clito pour l’ériger. Alternez baisers, lèches, suçons et… absences de votre bouche pour l’énerver.

Quand vous la sentirez impatiente d’être pénétrée, enfoncez-lui lentement, mais profondément un doigt et cherchez son point G, affolez-la! Utilisez vos vibros et vos godes, faites-la se tordre de plaisir dans ses entraves.

Quelques conseils quant aux bricolages (il s’agit ici d’aller planter la fiche de courant du vibro, de rechercher un accessoire, d’ouvrir une bouteille d’huile etc.) Ne laissez pas ces moments passer pour des hésitations ou des chipotages (ce qui la sortirait de ses rêves pour se demander ce que vous chipotez). Faites plutôt passer ces moments comme un suspense, une attente de « quelque chose »

Léchez, sucez, puis lubrifiez bien et longuement son anus, poussez un peu dessus, pénétrez-la d’un doigt pour l’inquiéter en lui faisant croire que vous allez la violer par-là. Caressez-lui aussi l’anus avec votre bite, poussez un peu contre sa corolle pour attiser sa peur d’une sodomie. Entrez juste le bout de votre queue dans son vagin et ressortez-en plusieurs fois, en alternance avec d’autres « traitements ».

Alternez vraie bite et vibro ou gode vibro (de préférence « veiné ») faites-le tourner dans le vagin, modifiez la fréquence des vibrations. Frappez-lui le clito avec votre bite. Quand le vibro sur clito et le gode sont utilisés en même temps, touchez, de temps à autre le gode avec le vibro.

Je t’en prie, baise-moi !

Exigez qu’elle vous demande elle-même de la baiser quand elle n’en pourra plus d’attendre et de jouir « à vide ».

Quand le moment viendra (enfin) pour vous, de vous soulager en elle, pénétrez-la dans un angle qui atteint son point G. Durant les pénétrations de bite, exigez verbalement, des exercices de serrage du vagin, vous devez la sentir se contracter. De temps à autre, revenez positionner votre membre sur la rose anale et pressez un peu, juste pour lui rappeler qu’elle est à votre merci et que vous pourriez bien la sodomiser (ce que vous ne ferez bien sûr pas si elle n’aime pas ça)

Si c’est encore possible, n’allez pas jusqu’à votre jouissance, mettez-vous en suspens en vous arrêtant de temps à autre… pour le suspense, toujours. Et quand elle jouira (ce qui arrivera sans doute plus d’une fois) continuez à la « traiter » malgré ses cris de plaisir!

Et surtout enfin…

Après le «traitement», quand vous la détacherez, SOYEZ TRÈS TENDRE et accordez-lui tout le temps nécessaire pour se remettre de ses émotions dans vos bras… vous préparerez ainsi… la prochaine séance.

Diplômé du CUNIC en biosexologie, du CERIA en pédagogie, formé à LLN à la communication par les médias. Auteur de "La Sexte", un roman érotico-policier aux Editions du Rocher et traduit en italien sous le titre "La Figlie di Lesbia" , Multon est un grand voyageur qui a accosté de nombreuses nanas dans 46 pays différents, Multon aurait voulu être un serpent… pour être toute une queue, c'est un homme ordonné qui tient chaque chose à sa place: les animaux dans son assiette et les femmes dans son lit.

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