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Seins de légende

Voici notre top 3 des seins qui ont marqué les années 80 à nos jours, grâce à l’émergence de la médecine esthétique et des médias de masse.
Mayra Hills
Ses seins sont de vraies collines… Avec un tour de taille de poitrine classé 85Z, elle pourrait aisément postuler aux monuments historiques, et elle a remporté pour la deuxième année consécutive le record des plus gros seins au monde. Allemande et trentenaire, elle aussi a su faire de ses mamelons un juteux profit, quoique de son aveu même, elle éprouve de grandes difficultés à se trouver des vêtements, on la comprend. « C’est toujours une aventure de se trouver en public avec d’aussi énormes seins » déclare-t-elle au Mirror, pourtant son compte Twitter ou son blog regorgent d’ambitions plus grandes encore. Elle y déclare ne pas vouloir s’arrêter là. Sera-ce son chirurgien qui lui mettra le holà ?
Lolo Ferrari
Ses seins ont été un phénomène de société tout au long de sa carrière et c’est la première à les avoir autant médiatisés. De son vrai nom Ève Vallois (eh oui, elle est française), l’actrice X a dépassé les frontières avec ses 25 opérations chirurgicales qui ne visaient pas toutes sa déjà abondante poitrine. Néanmoins, pour cette dernière, un moule spécial en métal d’aviation, 3 litres de sérum et un brassard complexe ont été nécessaires ; ce dernier devait remplir la fonction d’alléger un peu son dos qui souffrait énormément de tels appendices – 180 centimètres de circonférence tout de même. Lolo Ferrari a eu une vie très riche, que ce soit au cinéma classique avec Camping Cosmos, dans la musique avec Air Bag Generation dans la télé-réalité avec Eurotrash ou dans la pornographie avec Double Air Bag.
Busty Heart
De son vrai nom Susan Sykes, elle a su faire de ses seins de véritables outils : vous la connaissez sûrement pour son passage à l’émission La France a un incroyable talent. Elle n’est pas française et voue une haine tenace à tous les fruits qui lui résistent : en explosant des pastèques ou en cassant des briques, elle fait pâlir d’envie le moine shaolin le plus aguerri. Elle dit ne pas en ressentir de douleur particulière, on a du mal à la croire. Aujourd’hui, après avoir tourné dans Le Dictateur de Sasha Baron Cohen, dans le rôle d’une des gardes du corps de Khadafi, elle tient un bar privé de « freaks » à Los Angeles dont on dit (chut !) que Johnny Depp et Quentin Tarantino sont de fervents adeptes. Pour l’anecdote, sur le tournage du film, les seins de silicone prévus pour les cascades n’ont pas résisté au défonçage de la porte en bois, jusqu’à ce que, médusés, les spécialistes effets spéciaux entendent Susan Sykes prétendre pourvoir tourner sans doublure siliconé. C’est chose faite, pour un résultat bluffant qu’on vous incite à revoir !
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