Alice : anal athlète

Si la dilatation anale était une discipline olympique, Alice Hatter représenterait le drapeau tricolore. À 40 ans, la milf qui vient du Sud voue à la performance un véritable culte et contrairement à un marathonien, c’est loin d’être une souffrance :  plus c’est large, plus ça l’éclate ! Entre deux vols pour Prague, nous nous sommes entretenus avec cette discrète et inattendue ambassadrice du hard à la Française.

 LVDX : Pourquoi as-tu pris ce pseudo ?

Alice Hatter : Je l’ai choisi en référence à « Alice au pays des merveilles ». « Alice » pour le côté français et « Hatter » pour le chapelier fou, un clin d’œil à mon mari, mon complice de toujours.

Que faisais-tu avant de faire du X ?

J’avais un travail très sérieux dans lequel je ne m’épanouissais pas beaucoup. Je n’étais pas reconnue à ma juste valeur.

Pourquoi ne pas avoir choisi de te lancer plus tôt ?

Tout simplement car ce n’était pas le bon moment. J’ai passé un premier casting il y a longtemps maintenant, mais j’ai préféré choisir un parcours plus traditionnel. J’ai découvert très tôt le libertinage avec mon mari et de fil en aiguille, par connaissances interposées, j’ai tourné ma première scène pour J&M.

Combien de scènes as-tu fait avec J&M ?

Il y a neuf vidéos sur les sites de J&M, avec un nombre de vues qui augmente considérablement et cela me réjouit !

Quel est ton meilleur souvenir de tournage ?

Chez J&M, ma préférée est celle où l’on teste la triple anale, car mes partenaires étaient aussi excités que moi pour réaliser cette performance et c’est vraiment très fort en sensations. Plus généralement, mon meilleur souvenir est le dernier tournage que j’ai fait en République tchèque, car le niveau de performance et d’intensité me correspond parfaitement.

Tu vas donc régulièrement à Prague, chez Legal Porno. On lit et on entend beaucoup de choses sur ce studio. Comment ça se passe pour toi ?

Tout s’est très bien passé à chaque fois que j’y suis allée. Tout est organisé et pris en charge. En matière de prévention sanitaire, les tests sont faits sur place, ce qui est très sécurisant. Les performances sont attendues et mises en valeur, tout comme la « performeuse ». J’avais évidemment un peu la pression pour la toute première scène que j’ai tournée, car je voulais assurer. Je suis très fière d’avoir attiré leur attention et d’être une des rares françaises milfs à tourner pour leur production.

Justement, tu t’es faite une spécialité de la dilatation anale, pour quelles raisons ?

Tout simplement parce que j’adore les sensations !

Est-ce douloureux ? Comment prépares-tu ton muscle ?

Ce n’est pas douloureux à partir du moment où on se prépare bien et progressivement, avec toujours beaucoup de lubrification et de désir.

Par quel mécanisme prends-tu ton pied sur de telles dilatations ? Est-ce plutôt mental ou physique ?

J’aime sentir quand mon cul se dilate et que ça force, ça m’apporte un grand plaisir et beaucoup d’excitation. Et quand j’arrive à rentrer un diamètre supplémentaire, alors là, c’est l’extase !

Tu produis ton propre contenu. Es-tu aidée ? Comment organises-tu tes tournages ?

Je filme mes différents contenus comme une grande, en variant un maximum et en restant à l’écoute de mes chers abonnés. Je partage mes rencontres avec des partenaires et mes plaisirs en solo avec des « jouets », toujours très différents. Je prends aussi un réel plaisir à faire des vidéos personnalisées, en suivant à la lettre le scénario qu’on me propose.

Es-tu une croqueuse d’hommes ou de femmes ?

J’aime prendre du plaisir, à la fois en duo, trio… mais aussi en solo. J’ai besoin de ce mix et de cette diversité.

Comment doit se dérouler une partie de baise idéale pour toi ?

Il faut être innovant, imaginatif, dominant, hard, tout en étant attentif à mon plaisir. Sans ça je reste sur ma faim.

Quel est ton type d’homme ?

Je n’ai pas de type prédéfini. C’est un ensemble de choses qui doit me plaire, le côté physique, bien sûr, mais la mentalité et le savoir être sont très importants pour moi.

Es-tu libertine ? Partisane de l’amour de groupe ?

Je suis libertine à la base. Etre entourée d’hommes au garde à vous me comble !

Te reconnaît-on parfois ? Comment analyses-tu le regard des gens ?

Je ne sais pas si on me reconnaît car on ne m’aborde pas en ce sens, mais je remarque quelques regards. Je trouve que les personnes sont respectueuses, aussi bien dans le réel que sur les réseaux sociaux. Je les remercie pour leur soutien, leurs encouragements, leurs attentions, et leurs mots gentils. C’est très motivant. Je n’ai pas ressenti de jalousie, nous sommes toutes différentes et avec nos particularités, il y en a pour tous les goûts.

As-tu un fantasme encore non assouvi et que tu aimerais réaliser ?

Quand j’ai tourné pour Giorgio, je me suis demandée ce que je pourrais réaliser de plus fou et après réflexion, j’ai trouvé : rencontrer Rocco !

Quels sont tes projets pour le futur ?

Continuer sur cette voie : développer mon réseau, rencontrer de nouvelles personnes, faire de nouvelles collaborations, prendre du plaisir et faire plaisir.

Merci pour ton temps, Alice !

 Son Twitter : @AliceHatter83

Son Swame : alicehatter