Angel Youngs : star par hasard

Du Texas, terre de lait et de miel vient d’apparaître une nouvelle merveille aux seins parfaits : Angel Youngs, 19 ans, 90 E. Au-delà de ses mensurations renversantes, c’est la manière dont elle est arrivée qui est révélatrice. Alpaguée sur Twitter par un agent, Angel prétend n’avoir jamais pensé au porn auparavant. On n’est pas forcé de la croire vu qu’elle ne portait déjà jamais de culotte et s’effeuillait virtuellement…

Née le 15 janvier 2002, Angel Youngs a l’air plus mature que ses 19 ans le suggèrent. On avait perdu l’habitude de ces morphotypes au milieu des starlettes au visage post ado. C’est l’air d’Enchanted Rocks qui burine, des montagnes situées au Nord de Fredericksburg, dans le comté de Gillespie, au plein centre du Lone Star State. Angel Youngs y passe le plus clair de son temps à faire de la rando et de la chute libre. « Jusqu’ici je suis en tandem, mais j’aimerais commencer à en faire seule. C’est un loisir onéreux, c’est vrai, mais c’est vraiment cool. Ça vaut le coup », explique-t-elle au journaliste Lawrence Avery. Coup de bol, elle a décroché le job adéquat pour financer sa passion, de ceux qui payent 1000$ la scène en début de carrière. « Mon agent m’a trouvé par hasard sur Twitter. Je ne pense même pas avoir posté quoi que ce soit en rapport avec le X. C’était bizarre. Je n’avais aucune idée de pourquoi ». Sur ce dernier point, Youngs enjolive. Elle faisait des kilomètres par soir, des dollars dans le string, avant la fermeture des clubs de l’Etat de J.R Ewing.

Son Twitter était celui d’une stripeuse et modèle photo, pas d’une bénévole pour la Croix Rouge… « Je l’ai trouvée sur Twitter, confirme Matt Morgia. Je recrute dessus. Il suffit de mettre le hashtag #OnlyFans et c’est parti. Angel était blonde, jolie et elle faisait du strip, je l’ai donc contactée ». La méthode de l’agent est éprouvée. Les « démarchages » se font sur toutes les plateformes où des filles dénudées font du social time, d’insta à Chaturbate. Jusque l’année dernière, Morgia travaillait encore avec Jim South de l’agence World Modeling Talent. Ce nom ne dit rien à personne, mais Jim South a été le tout premier agent de pornstars à temps plein. Son agence, il l’a ouverte sur Van Nuys Boulevard à deux pas des studios Universal en 1976. Pendant un quart de siècle, elle sera, avec Pretty Girl International de Reb Sawitz, l’une des deux seules agences à travailler avec les producteurs. On lui doit, entre autres, la découverte de Ginger Lynn, Savannah, Tera Patrick ou Francesca Le. Malheureusement, South disparaît en août, peu avant ses 81 ans. Veuf en affaire, son associé embarque le fichier client, dont fait partie Angel Youngs, et rejoint Chris Cane chez Foxxx Modeling.

Ce changement de crèmerie ne va toutefois pas accélérer la carrière naissante de la Texane, engluée comme celles des stars confirmées dans les moratoires Covid jusqu’en septembre. Elle qui comptait sur le X pour prendre le relais des clubs de strip-tease qui ont fermé leurs portes, la voilà contrariée. « J’ai quand même eu le temps de tourner une trentaine de scènes avant. J’ai fait trois semaines à Vegas et trois à L.A ». Heureusement, une hirondelle a fait le printemps. Depuis six mois, elle a passé la surmultiplié avec un naturel désarmant. Elle a doublé le nombre de ses scènes mises en boîte et ce, pour des studios de plus en plus prestigieux qui s’arrachent son énorme poitrine naturelle. D’autant qu’en termes de pratique, la progression de la jeune femme de 1m68 suit la même trajectoire : exponentielle. Masturbations solo, jeux lesbiens, creampies et depuis quelques semaines, sodos à gogo peuplent son quotidien.

Avec elle, pas de minauderie ou de calcul, la vie n’est que plaisir et découverte. « Elle est en phase avec ce qu’elle a envie de faire et sexuellement, elle a une grande confiance en elle », lâche son agent. « Tout est cool et tout me fait rire ! Je ne prends pas la vie au sérieux, reprend-t-elle. Je déconne tout le temps. Même si les fans me perçoivent comme « girly », je suis un vrai mec. Après, honnêtement, j’ai du mal à parler de moi. Tout ce que je veux que les gens sachent, c’est que j’aime tout le monde ». Et qu’elle ne porte jamais de culotte… « Réellement, je n’en porte jamais. Mais ce n’est pas rare. Il y a plein de gens qui n’en portent pas ». On a connu des fantaisies plus compromettantes. Et pour le coup, ça lui fait gagner du temps, vu qu’une bonne partie de son taf consiste à se dévêtir et se resaper plusieurs fois par jour.

Découverte par hasard, Angel Youngs n’est définitivement pas dans le porn sans raison.