Du sang, de la sueur et des ring girls

Dimanche 22 janvier 2023, au Zénith de Paris, se tenait le sixième évènement de l’organisation Hexagone MMA. Partenaire du show, Swame a pu inviter des modèles de sa plateforme pour tenir le rôle de ring girls. On vous raconte les coulisses.

Trois ans après son autorisation en France, le Mixed Martial Arts ne cesse de rassembler de nouveaux adeptes, conquis par le caractère spectaculaire des combats. L’organisation la plus connue, l’UFC, a ainsi organisé son premier combat sur le sol français en septembre 2022 dans une Accor Hotel Arena pleine comme un œuf, qui a notamment vu Ciryl Gane s’imposer par KO au terme d’un combat homérique. Le colosse français, surnommé « Bon Gamin » est d’ailleurs actionnaire d’une autre organisation, Arès, qui organisera le deuxième combat de l’influenceur Ragnar le Breton dans les prochaines semaines, après sa défaite il y a quelques jours à l’occasion de l’évènement HFC39.

Une entreprise toulousaine aux manettes

Après des shows organisés à La Défense Aréna, en Allemagne ou à Dubai, Hexagone MMA avait choisi d’investir le Zénith de Paris pour la deuxième fois. L’entreprise toulousaine, fondée par les frères Jérome et Laurent Pourrut, avait vu les choses en grand avec une fight card de huit combats, dont une défense de son titre de championne du monde pour Laetitia Blot.

Écrans géants, speakers, public bouillant, commentaires assurés par Greg MMA et Lucie Bertaud, ancienne participante de Koh Lanta et quintuple championne de France de boxe, célébrités présentes dans les travées et autour du buffet VIP comme Laurent Maistret, Davy Mourier, Morgan Charrière, IbraTV, Samy Naceri, Cyril Benzaquen et bien d’autres, il ne manquait qu’une seule chose pour que cette soirée s’inscrive dans la pure tradition des évènements liés aux sports de combat : des ring girls !

Talons hauts et bras musclés 

Sponsor de l’évènement avec son logo imprimé sur le tapis, la plateforme de monétisation de contenu Swame avait eu l’honneur d’être chargée de trouver des candidates capables de remplir cette noble fonction. Lia Spicy, Ashley Morena, Pam et Dolce Bony ont ainsi été sélectionnées et invitées à se présenter à l’entrée de service du Zénith de la Villette à 17h30 précises.

Après un passage en loge pour essayer les tenus estampillées Swame et faire quelques raccords maquillage, les quatre ring girls ont été longuement  briefées par Marion, membre de l’organisation. L’exercice est en en effet plus périlleux qu’il ne parait.

Il y a d’abord ces quelques marches métalliques pour accéder au ring, dont les trous sont suffisamment larges pour laisser passer la pointe d’un talon haut et entrainer une vilaine entorse de la cheville. Il faut ensuite naviguer entre les cameramen, l’équipe des combattants et le matériel technique, tout cela dans le noir et un temps imparti, en brandissant haut la pancarte annonçant le round.

« Le plus dur, c’est de ne pas tomber avec 12cm de talon ! » Lia Spicy

Pour Pam, le plus difficile était de se concentrer à côté de ces combattants très sexy, elle qui avoue un faible pour Matthieu Letho Duclos… Quant à Lia Spicy, il s’agissait de ne pas tomber avec 12cm de talon ! Mais loin de tomber en pâmoison face au physique avantageux des champion(ne)s, nos ring girls ont surtout apprécié les combats d’un oeil expert.

Dolce Bony avait en effet déjà pratiqué du judo, pareil pour Ashley Morena qui avait en plus déjà fait de la boxe anglaise, comme Pam. En outre, Lia, Ashley et Pam avaient assisté à l’Hexagone MMA5 en Allemagne en octobre dernier. 

Malgré la défaite de Laetita Blot lors du Main Event, lui faisant ainsi abandonner sa ceinture de championne du monde, les quatre ring girls sont ravies de l’expérience et se voient bien recommencer. Surtout qu’elles ont pu rencontrer des célébrités dans le salon VIP et prendre quelques selfies. Sans oublier qu’elles comptent bien poster des photos d’elles au sport dans leur tenue de lumière pour ravir leur abonnés sur les réseaux sociaux !