Sexy fighteuses

Catcheuses et combattantes dans des ligues prestigieuses telles que la WWE, l’UFC ou le Bellator, ces dix femmes ont des physiques à tomber par terre et pratiquent la soumission. En somme, elles auraient fait de fières pornstars, mais ont choisi la voie du guerrier. Entre poses suggestives et guillotines, elles illustrent que la frontière est mince entre toutes celles qui vivent de leur corps. Présentation.

Paige VanZant. La plus hot

Paige n’est pas surnommée Calibre 12 (12 Gauge) en référence à sa capacité orale, mais pour sa faculté à mettre des patates qui sonnent comme des coups de fusil à pompe. Taillée dans le bois d’un séquoia de l’Oregon, la poids paille brouille les pistes tant certaines de ses poses tiennent plus de la pornstar que des stances de boxeuse. Après deux ans en demi-teinte à l’UFC (2014-2015), VanZant a vu sa popularité décoller en étant finaliste de l’édition américaine de Danse avec les Stars en 2016. Actuellement à la All Elite Wrestling, elle est suivie par près de trois millions et demi de followers sur Instagram et a fait la couverture de Sports Illustrated Swimsuit Issue en 2019. Au vu de ce qu’elle montre avec son mari, Austin Vanderford, lui aussi combattant de MMA, il se pourrait bien qu’une (fausse) sextape apparaisse un de ces jours… 

Felice Herrig. Lil Bulldog

Elevée à l’école du Muay Thaï, Felice a commencé au Bellator en 2013. Depuis, elle a confirmé à l’UFC, l’organisation reine, dans laquelle elle est classée 15^ème chez les poids paille. Avec 14 victoires pour 8 défaites en carrière, la native de l’Illinois affiche un bilan aussi honorable que ses 38 ans. Petit format de 1m63, Lil Bulldog, comme on la surnomme, est réputée pour ses courbes, des épaules jusqu’à la descente des reins. Un potentiel sexy qu’elle ne manque pas d’exploiter à travers ses clichés à l’entrainement ou en bikini. 

Amanda Ribas. Des fesses d’enfer

Top 10 chez les poids mouches et poids pailles, la Brésilienne de 29 ans est une valeur sûre de l’UFC, affichant un très beau bilan de 12 victoires en 15 matches pro. Spécialiste de judo et ju-jitsu brésilien, elle amène rapidement ses adversaires au sol et préserve ainsi son minois des directs et autres high kicks. Fidèle à la réputation des Cariocas, Amanda ne se fait pas prier pour se montrer en deux pièces et elle a des arguments tonitruants. Ne cherchez pas plus loin la plus populaire des combattantes brésiliennes. 

Andrea Lee. KGB

La Texane fut surnommée KGB par son entraineur car il trouvait qu’elle ressemblait à une Russe. Pour la petite histoire, lors d’une compétition internationale, la délégation russe s’empressa d’être prise en photos avec elle et son short de combat floqué KGB bien visible. Avec ou sans l’inscription, Andrea Lee a de toute façon un fessier formidable. Mais qu’on ne s’y trompe pas : c’est de là que cette spécialiste de karaté Kyokushin fait partir ses kicks dévastateurs. Avec 13 victoires en 20 combats, Andrea Lee est une valeur sûre de l’UFC, même si elle reste sur deux défaites, dont la dernière fin mars. A 34 ans, elle est sans doute passée de l’autre côté de la montagne, mais elle a de beaux restes…

Bruna Vargas. La bonne pote

Outre son splendide fessier, Bruna est la combattante de MMA qui a la réputation d’être la plus grande fan de la série Friends. Elle a même été surnommée Gunther par ses potes, en raison de sa ressemblance avec le perso de la série du même nom. Pour pousser le délire encore plus loin, elle a même inventé une technique, le Pivot Ross, inspirée du toubib de la bande. Le principe est simple : Vargas fait semblant de se coucher puis se relève d’un bon pour asséner un coup dévastateur. Le résultat est mitigé. Avec 4 victoires pour 5 défaites dans l’UFC, il va falloir qu’elle se refasse l’intégrale de la série pour étoffer sa panoplie. 

Michelle Waterson. Le sourire

Née dans le Colorado de parents thaïlandais, la combattante a peut-être le sourire le plus craquant du plateau, ce qui donne du crédit à sa garde, efficace pour la protéger des coups. Dans l’antichambre de l’UFC, l’Invicta, Waterson était très prometteuse et fut sacrée championne des poids atomes en 2014, mais son passage dans la grande ligue fut douloureux. Si elle garde un bilan flatteur de 18 victoires pour 11 défaites, elle pique de moins en moins vite et a perdu ses trois derniers affrontements. A 37 ans, pourquoi ne pas envisager une petite reconversion dans l’adulte, Michelle ?

Carmella

Fille de catcheur, Carmella est une diva de la WWE et constitue une des têtes de gondole de l’organisation. Ancienne danseuse des Patriots et des Lakers, son corps est exceptionnel ! Engagée dans un numéro d’équilibriste pour proposer des modèles sexy mais aussi de bonnes lutteuses, la WWE a trouvé depuis dix ans en Carmella, le compromis parfait. La native du Massachusetts est virevoltante, gagne des titres et la rivalité qui a été montée entre elle et Asuka, une autre combattante hypersexuée de Raw, capte l’attention des fans. Ils sont des millions à rêver que Carmella leur fasse un bodyscissors !

Valentina Shevchenko. La GOAT

Avec le Brésil, l’Asie Centrale est l’autre terre du MMA. Valentina vient donc du Kirghizistan, pas très loin du Daguestan de Kabib, le GOAT chez les hommes. Avec 23 victoires pour seulement 4 défaites, cette spécialiste du muay-thaï de 35 ans est sûrement la plus redoutable combattante en activité. Championne des poids mouches à l’UFC de 2018 au 4 mars dernier où elle perd sa ceinture contre Alexa Grasso, Sheva va devoir batailler ferme face à la nouvelle génération. Elle n’aura toutefois pas sacrifié sa beauté sur l’autel des résultats. 

Valerie Loureda. La bomba

Une bombe qui trouverait sa place dans n’importe quelle production porn haut de gamme, mais pour l’instant, c’est à la WWE que la floridienne a signé, après un parcours honorable à l’UFC. Cover-girl qui sait aussi bien poser que cogner, cette latina a du sang cubain qui coule dans ses veines, faisant d’elle une redoutable boxeuse en anglaise et de surcroît, dure au mal. En choisissant de délaisser la castagne pour la ligue de catch, elle privilégie désormais les parades sexy et les entrées sur scène fanfaronnes. On ne s’en plaindra pas et on ne la plaindra pas non plus.