Acteurs
Izzy Lush. La Colombienne atypique

Ses lunettes de vue Ray Ban Aviator la rendent immédiatement identifiable. Izzy arrive de Cali, Colombie, armée d’une classe rare pour une Sud-Am. Si elle n’est pas pleine de collagène, c’est qu’elle a fait ses humanités en Europe, à l’université de Barcelone avant de débarquer à Hollywood. A 30 ans, elle a atteint son but : faire du cinéma. Peut-être pas celui qu’elle voulait au départ, mais elle a vécu son expérience dans la cité des Anges.
Une vraie « Bomba Latina »
En Colombie, on cultive les belles plantes. Celle-ci fait un mètre 70 pour 55 kilos, a été élevée dans le bon grain de la bourgeoisie sans pour autant renoncer à ses rêves, ni au grain de folie qui fait le charme des Sud-Américaines. « Je suis ouverte et super sexuelle. Je m’en fiche d’être regardée. Chaque jour, je découvre une raison de plus qui me pousse à être là où je suis » lâchait-elle en interview un mois après son baptême porn en 2018. Rien que dans sa manière de s’exprimer, Izzy transpire le sexe brut.
Son arrivée en Californie
Quand elle arrive en Californie cette même année, la Colombienne tente de mettre en pratique ce qu’elle a étudié à la fac en Espagne, court de casting en casting. Sans rechigner, elle enchaine les petits boulots, persuadée que son heure viendra. Au moment où elle tourne sa première scène X, un truc amat’ pas terrible, le 12 juillet 2018, personne n’est au courant de ce qu’elle s’apprête à faire. « Ma famille était loin, je pouvais faire ce que je voulais ici. À Barcelone, j’étudiais, j’étais encadrée. C’était différent. Quand je suis venue ici, c’était pour voler de mes propres ailes. Je ne me sentais pas rendre des comptes ». Quand la nouvelle est arrivée aux oreilles de son entourage, ce dernier ne l’a pas reniée, pas plus quand elle a haussé la cadence en passant chez Tushy, Evil Angel et Jules Jordan.
Une ascension fulgurante
En Colombie, il n’y a pas que les trous de balle qui sont ouverts, les esprits aussi… Hardcore, belle, intelligente, all natural et parlant un Anglais impeccable, Izzy a rapidement fait partie des coqueluches du circuit et c’est tout naturellement qu’elle s’est retrouvée à concourir pour le titre de Meilleure Nouvelle Starlette aux AVN Awards en 2019. Maligne, elle a en outre intégré les codes du business et il est difficile de lui arracher autre chose que « wonderful, amazing ou so nice » dans ses discours.
Au passage, ce qui est marrant avec les pornstars en terre américaine, c’est qu’elles aiment toujours les mêmes collègues. Izzy est un énième exemple. Ainsi, elle porte aux nues : « Nicole Aniston. Son corps, ses performances… elle est extraordinaire. Asa Akira, Riley Reid… J’aime aussi Mick Blue avec lequel j’ai travaillé ». Pas question de citer les mauvaises expériences : au pays d’Izzy, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.
Une filmographie impressionnante
D’ailleurs, sa filmographie, forte de près de 200 scènes, témoigne qu’elle a travaillé pour un paquet de productions et le panard qu’elle prend sur les tournages ne semble pas feint. D’ailleurs, rapidement après ses débuts, Jules Jordan s’est assuré l’exclusivité de ses premières scènes anales. Dans le business US, il est l’un des seuls qui surenchérisse ainsi pour s’assurer de la primeur d’une débutante à fort potentiel. Tout bénef pour Izzy qui a ainsi bénéficié du réseau et des moyens de promo du vénérable studio. Ainsi, pendant quatre ans, elle a été au taquet, tournant une cinquantaine de scènes annuelles et dans tous les styles.
De moins en moins présente
Même pendant le Covid, sa carrière n’a subi aucun ralentissement. Puis à partir de 2023, ses apparitions se sont espacées et l’année dernière, elles ne furent plus que sporadiques. Aux dernières nouvelles, elle ne serait plus aux États-Unis. Sur les réseaux, elle n’a jamais caché qu’elle avait le mal du Chili et de la Catalogne. De Barcelone, elle a gardé un goût pour le mode de vie, la musique électronique, chiller, lire, marcher au bord de mer et regarder le coucher de soleil.
À Los Angeles, le décor de carte postale est peut-être le même, mais change radicalement sitôt la nuit tombée. L’ambiance se transforme en chacun pour sa gueule et chez soi. Une chose est néanmoins certaine : Izzy se filme toujours, mais réserve l’exclusivité de ses scènes à ses réseaux. Elle entretient les braises, en somme. Et dans ces cas-là, le brasier peut repartir à tout moment…
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