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Les pannes sexuelles… au féminin !
En sexualité, quand on parle de panne, il va de soi pour tout le monde qu’il s’agit d’une absence d’érection. L’expression « panne sexuelle » s’adresse systématiquement à la sexualité masculine… même si des femmes aussi, connaissent des pannes. Et, lorsqu’elles racontent ce qu’elles ressentent, cela s’apparente quelque peu à ce qui arrive aux hommes.
Une femme qui sort et couche régulièrement avec des hommes se confie: Elle raconte comment elle a pu avoir des relations sexuelles avec des hommes qui ne lui plaisaient même pas, juste pour le plaisir. Toutefois, un jour, elle a connu quelque chose de différent avec un homme qui, pourtant, lui avait beaucoup plu. Longtemps après, en l’évoquant, elle le considère toujours comme un mec super: « Je l’ai rencontré chez des amis. Ça été un coup de foudre extraordinaire. On s’est emballés tous deux pour cette relation. Il réunissait toutes les qualités que j’attends d’un mec: délicat, prévenant, gentil. Et en plus, il était beau. »
Ils se sont embrassés, se sont retrouvés au sol, le soutien-gorge a valsé, mais au moment où il s’est agi de baiser, tout l’érotisme a disparu.
« Au moment où on a commencé à faire l’amour, je n’étais plus dans le coup. Je lui ai dit que j’avais l’impression d’avoir une panne de sexe et il m’a répondu qu’il ne savait pas que ça pouvait arriver à une fille. »
Était-ce psychologique? Peut être. Ici, la femme ressent un fort désir d’union avec un homme correspondant exactement à son rêve de vie à deux: C’était trop, trop parfait… c’était intimidant !
On parle de dysfonction érectile chez les hommes, mais on ne parle jamais de ça chez les femmes. Chez elles, on est toujours sur du psychologique pur alors que chez les hommes, on admet qu’il puisse y avoir une dimension psychologique et une autre mécanique.
On n’a toujours pas intégré l’idée que le plaisir féminin puisse aussi être mécanique. On ne peut pas leur demander: « Tu ne peux pas te forcer? » On ne doit pas voir les femmes comme des réceptacles, qui peuvent faire l’amour sans désir avec un peu de lubrifiant…
Et si le partenaire était responsable?
Quand il y a panne sexuelle chez une femme, il faut se dire que cette perte de désir peut être due à la façon dont son ou sa partenaire lui fait (mal) l’amour.
Le manque de lubrification vaginale.
Environ 20% des femmes seraient concernées par des problèmes de lubrification. Ce trouble de l’excitation sexuelle ne correspond en rien à un manque de désir. En comparaison, quand un homme est en panne d’érection, il explique généralement: “J’avais envie de faire l’amour, mais mon corps ne répondait plus.” Le désir, l’émotion ressentie, ne se transforme pas en excitation du corps. Chez la femme, le trouble équivalent est le manque de lubrification vaginale.
Pourquoi cette lubrification se produit-elle en temps normal ?
Le fonctionnement érectile du clitoris de la femme est le même que celui du pénis de l’homme. C’est l’excitation sexuelle qui entraîne un afflux de sang dans la zone génitale, donc un gonflement des tissus. Chez l’homme, c’est le phénomène de l’érection. Chez la femme, les tissus entourant le vagin gonflent et, n’étant pas étanches (contrairement aux corps érectiles de l’homme), ils laissent passer un liquide, la transsudation vaginale. La panne féminine est donc cette sensation de sécheresse vaginale.
Le clitoris n’est pas le petit bouton qu’on imagine. C’est comme un iceberg, la plus grande partie se trouve cachée sous la surface. Les ramifications nerveuses du clitoris mesurent environ 10 centimètres des deux côtés du vagin. Au moment de l’excitation, chez l’homme comme chez la femme, les muscles se relâchent et le pénis et le clitoris se mettent en érection.
Fatigue, alcool, anxiété, dépression, froid.
Bref, les femmes bandent et débandent aussi. Il ne s’agit pas de vaginisme, d’anorgasmie mais bien de panne sexuelle. Comme les hommes, les femmes qui connaissent une panne la ressentent dans des contextes variables. Fatigue, alcool, anxiété, dépression.
Pour faciliter l’excitabilité, il est préférable d’être disponible aussi bien mentalement (ne pas être préoccupée, soucieuse, anxieuse…), que physiquement (être en forme) et émotionnellement (ne pas être triste ni déprimée…).
Même si la femme a très envie, elle peut ne pas avoir de chance: Au moment de la pénétration, ça passe pas, ce n’est pas assez lubrifié et, à force d’essayer, ça s’irrite, bref, la cata.
Il arrive aussi que, pendant l’acte, ça bloque tout d’un coup.
Il existe des choses typiquement “débandantes”, du genre de la vision des poignées d’amour du partenaire, sa barbe piquante ou d’autres détails agaçants. Entre le désir habillé du fantasme et le désir dans la réalité de l’action et de la chair, il y a toujours comme un pont à franchir et ça ne passe pas toujours.
Quand ça arrive, la femme peut craindre que son partenaire s’en rende compte et se dise: “Mais elle n’est pas excitée? Mais je ne l’excite plus?” Du coup, l’angoisse prend le dessus sur l’excitation et c’est tout à fait fini.
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