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Ambiguïtés sexuelles en tous genres…
Intersexués, transgenres, hermaphrodites, androgynes, pseudohermaphrodites
Dans la mythologie: Hermès et Aphrodite conçurent un garçon qu’ils appelèrent Hermaphrodite. Un jour qu’il se baignait nu dans un lac, la nymphe Salmacis, troublée par sa beauté l’enlaça. Comme il était encore un peu niais, il se débattit. La nymphette en colère s’écria: « Que désormais rien ne puisse jamais nous séparer! » Aussitôt, les deux corps n’en formèrent plus qu’un, mi-homme, mi-femme.
La reconnaissance sociale de l’intersexuation.
Après une décennie de débats, le concept de genre fait désormais partie du paysage intellectuel français. L’intersexuation s’introduit même en justice: Le 20 août 2015, le Tribunal de Grande Instance de Tours a reconnu le droit de faire apposer la mention « sexe neutre » sur l’état civil d’une personne âgée de 64 ans et née avec une ambiguïté sexuelle: elle possédait les organes sexuels d’un homme et d’une femme… mais ce n’est pas fini car l’affaire est à présent portée en appel.
L’hermaphrodisme qui est une anomalie chromosomique et l’homosexualité ou le transsexualisme qui sont des orientations sexuelles.
Les hermaphrodites vraiment bisexués (c’est à dire les êtres humains qui possèdent à la fois des ovaires et des testicules fonctionnels) sont une légende. Quant aux pseudo-hermaphrodites, un homme sur cent mille et une femme sur quatre cent mille, ces individus ont les glandes d’un sexe mais leurs organes génitaux et leurs caractères sexuels secondaires ressemblent à ceux de l’autre sexe. Ces rarissimes individus souffrent d’anomalies des organes génitaux qui les rendent généralement stériles.
Le terme « androgyne » convient mieux aux humains. L’androgynie est le fait de présenter des organes génitaux externes mal différenciés (tout petit sexe masculin et des seins, ou un très grand clitoris…). Bref, un individu imprécis qui présente soit l’aspect du sexe qui n’est pas le sien ou qui a une allure qui porte à confusion, on peut alors parler d’intersexualité.
Ces états « intermédiaires » ont des causes diverses qui « déteignent » les unes sur les autres au point qu’il est difficile de les isoler. Plusieurs facteurs influencent l’identité sexuelle: D’abord le sexe génétique (les fameux chromosomes XX ou XY). Ensuite le sexe gonadique (le fonctionnement plus ou moins correct des ovaires ou des testicules).
Après quoi interviennent l’éducation, l’expérience personnelle et les influences relationnelles qui (ré)orientent la sexualité des individus, dans ces cas on parle de « trans« .
D’étranges garçons dont le pénis ne pousse qu’à la puberté
Dans une zone reculée de la République Dominicaine, on observe un phénomène rare : Un enfant sur nonante naît avec des organes génitaux féminins, et ce n’est qu’à partir de la puberté que leur pénis se développe.
La BBC s’est intéressée à ces jeunes surnommés « Guevedoces », (pour « pénis à 12 ans »), en recueillant le témoignage d’un garçon qui a été élevé en tant que fille vu qu’il n’avait pas d’organes génitaux masculins et présentait plutôt ce qui ressemblait à un vagin. Ce n’est qu’à l’approche de la puberté que son pénis a commencé à se développer et ses testicules à descendre. À l’école, Félicia était habillé en fille, mais déclare ne jamais avoir été à l’aise lorsqu’on lui proposait de faire des activités de filles. Après sa transformation, il s’est appelé Johnny.
Carla, un autre enfant rencontré par les journalistes anglais, est sur le point de se transformer en Carlos à l’âge de 7 ans. Sa mère a vu le changement venir depuis un petit temps: « Quand elle a eu 5 ans, les muscles de son torse ont commencé à se développer. Je pouvais voir qu’elle allait devenir un garçon », raconte-t-elle.
C’est dans les années 70 qu’une endocrinologue américaine, Julianne Imperato-McGinley, a débuté les premières recherches sur cette population et a découvert que la condition spéciale de ces enfants était liée à une carence de l’enzyme qui rend possible le développement du pénis.
Ces enfants qu’on pourrait qualifier de pseudohermaphrodites ont donc des chromosomes masculins XY à la naissance mais ils ont l’apparence de filles. Ce n’est qu’à la puberté, qu’une deuxième poussée de testostérone permet le développement d’organes génitaux masculins.
Ce phénomène est aussi répertorié dans des villages de Papouasie-Nouvelle-Guinée, où ces enfants sont appelés « turnims » ou « ceux qui vont devenir des hommes ». Les turnims sont rejetés et humiliés par leurs familles et par la société tandis qu’en République dominicaine, la transformation de l’enfant en mâle est marquée par une célébration joyeuse.
Justifiez votre féminité !
Il arrive que des sportives soient sommées de faire la preuve de leur sexe avant les compétitions de haut niveau car outre les variations chromosomiques, certaines femmes sont hyperandrogéniques (Elles ont un excès de testostérone ce qui les avantage dans l’effort).
Pour approfondir le sujet, recherchez dans l’Internet les termes suivants :
Syndrome de Klinefelter.
Syndrome de Turner.
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