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Elles aident des prisonniers à s’évader de prison grâce… à leurs petites tenues

Le Brésil. Ses plages de sable blanc noyées dans le bleu azur de cet océan infini, où de petites sirènes en string courent dans l’écume blanche, telle une éjac globale reçue d’un Dieu tant aquatique que pervers. Mais le Brésil, ce n’est pas que ça, car notre histoire du jour nous emmène… en prison.
Qui n’a jamais rêvé d’un séjour de rêve à Copacabana, hein ?! Mais éloignons-nous un tantinet de ces chimériques et espérés estuaires ensoleillés, pour nous diriger quelque peu plus au centre du pays. Quelque part au nord-est de Rio de Janeiro et non loin de la frontière bolivienne, se trouve la ville de Nova Mutum, au nord de Cuiabá. Là, on y trouve une ravissante et champêtre… prison d’État, où sont incarcérés trafiquants et autres charmants autochtones du même acabit.
Quand on est jeune et qu’on aime à perdre la raison, comment donc libérer de toute entrave son amoureux prisonnier ? L’hélicoptère ? Déjà fait et surtout repérable au bruit des rotors. Creuser un tunnel à la petite cuillère ? Long et compliqué et nécessitant une logistique Guy Degrenne qui, comme chacun le sait, n’aidera pas à réussir dans la vie. Nonobstant, la désopilante [pour nous] mais problématique [pour eux] mésaventure qui advint aux gardiens de cet établissement pénitentiaire, prouve une seule chose : certaines ont de l’idée et de la détermination.
Car quelle ne fut pas la surprise de l’équipe de jour, lorsqu’elle découvrit au petit matin, après avoir retrouvé la porte principale la maison d’arrêt grande ouverte, trois de leurs collègues menottés à de cellulaires pageots et culs nus ! Mais diantre ! Que s’était-il passé, par cette nuit sans lune, pour qu’au petit matin, trois pleines leur fassent face ?!
Trois heures du mat’ v’la des jupons !
Eh bien, dans la nuit, aux alentours de 3h00 du matin, trois jeunes femmes pointent le bout de leurs nez, et de tout autre chose, au portail principal. Elles lancent à la cantonade, qu’elles sont venues pour tailler une bavette, dans l’attente d’avoir autre chose à tailler, et pour boire avec modération, qui par un heureux hasard, était absent ce jour-là.
Aussi, deux gardiens confiants en de si affables personnes, n’hésitent pas une seconde à leur ouvrir leur huis, imaginant déjà ce moment où ils leur présenteraient leurs vits. Et voilà. Inexorablement, le piège déjà se referme sur les pauvres fonctionnaires qui ne voient rien venir, en dehors de l’espoir de se faire dégorger le poireau par ces vicieuses visiteuses qui les entraînent bien vite, à travers les couloirs, dans l’un des dortoirs.
Les donzelles sortent donc quelques bouteilles d’un whisky de mauvaise qualité, avant d’enfiler des tenues bien plus provocatrices que jeans moulants et jupes raccourcies. Et quoi de plus « rigolo » au cœur d’une prison, que de se fringuer en costume fétichiste de petite policière à menottes et tendance domina ?
Râteau de nuit
À leur vue, les gardiens ne se sentent plus de joie. Ils ouvrent un large bec et… avalent donc à grands traits l’alcool frelaté, préalablement coupé au Clonazépam, substance de la famille des benzodiazépines, aux propriétés sédatives, hypnotiques, anxiolytiques et anticonvulsivantes, bref, un véritable velours pour l’estomac.
Une fois nos deux « petits cochons » enlacés dans les bras de Morphée, les louloutes les menottent aux paddocks, après avoir fait disparaître, comme par enchantement, falzars et autres calebars. Elles profitent ensuite de cette léthargie pénitentiaire pour déverrouiller la porte permettant l’accès aux cellules et libèrent leurs amis incarcérés. Car ce n’est pas un ou deux détenus qui, en compagnie de ces belles, se la sont faite… mais 28 ! Après, bien sûr, avoir préalablement visité l’armurerie locale, en mode livraison à domicile, s’emparant de quelques fusils de calibre 12, deux revolvers de calibre 38 et des munitions y attenant. Tout ce petit monde passe ensuite nonchalamment la porte principale de l’établissement.
Les autorités retrouvent les deux gugusses, s’étant fait avoir comme des glands, au petit matin, comme des cons, le chibre à l’air. Dans un sac, ils découvrent uniformes sexy et lingerie. Interrogée par la presse locale, Angelina de Andrades Ferreira, responsable de l’établissement, a déclaré : « Ils n’ont plus aucun souvenir. L’un a été retrouvé étourdi, tentant de se réveiller, l’autre a dormi toute l’après-midi, empêchant tout interrogatoire. »
Les loustics rient vert
Aussi, pour nos trois malheureux fonctionnaires, point de partouze, mais des poursuites, car arrêtés pour complicité d’évasion, malversation et détournement d’armes de service. Mme de Andrades Ferreira a ainsi poursuivi : « Le plan était de les séduire. […] l’évasion avait été planifiée et exécutée par le petit ami de l’une des jeunes femmes, Bruno Amorim, 18 ans, qui purgeait une peine pour tentative de meurtre, vol et possession d’arme à feu, avec la complicité de celle-ci. »
Deux jours plus tard, huit des évadés sont repris par les forces de l’ordre, qui avaient lancé une traque infernale à leur encontre. L’un d’eux est arrêté dans le centre-ville de Nova Mutum, plein comme une barrique et tenant à la main l’un des fusils dérobés. Un second est capturé, au cours d’une poursuite, après avoir « plié » dans un arbre, un pick-up volé dans une ferme.
Les collègues des deux couillons et quelques policiers, sans nul doute, morts de rire devant une telle situation, n’ont pas tardé à faire circuler sur le Net, via les réseaux sociaux, les photos de leur arrestation avec moult détails. Moralité : tant vont les truffes aux petits lots, qu’à la fin, ils ramassent…
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