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Un divorce pour cause de sexe trop… gros

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Elles ont toutes tenté de nous en convaincre avec cette sempiternelle resucée : « Ce n’est pas la taille qui compte ». Pourtant, cela n’a pas été le cas pour une femme qui a déposé auprès d’une Cour de Justice nigériane, le droit de divorcer de son époux avec qui elle venait tout juste de convoler, pour la raison suivante : la taille de son chibre l’empêche de prendre du plaisir au cours de leurs rapports sexuels…

Aisha Dannupawa, jeune nigériane et déjà maman de trois enfants issus d’une première union, est, de prime abord, ravie d’avoir fait la connaissance d’Ali Maizinari, d’être de nouveau en couple et de commencer une nouvelle vie à ses côtés. Comme le veut la tradition nigériane, elle est invitée à passer quelques jours chez ses nouveaux beaux-parents, immédiatement après la cérémonie, et avant d’emménager pour de bon chez son mari.

 

C’est donc chez ces derniers que le mariage est consommé pour la toute première fois. Et là, la désillusion est de… taille : « Ce fut un cauchemar. Je n’ai pas du tout apprécié ce moment supposé être agréable, à cause de la taille de son pénis », déclare-t-elle au Nigerian Tribune, qui rapporte son histoire. Pire, ce rapport fait souffrir la jeune femme, qui demande conseil à sa propre mère : « Elle m’a dit de persévérer, qu’avec le temps, je m’y ferais. Et elle m’a donné des antidouleur », poursuit-elle.

Mais le second essai n’est guère plus concluant. « C’était trop dur à supporter » explique Aisha, qui décide, à ce moment-là, de mettre un terme à cette rapide union, presque surprise que les médicaments n’ont pas eu l’effet escompté. Par conséquent, une semaine après avoir dit : « oui » [pour le meilleur et pour le pire, rappelons-le], elle demande le divorce devant une Cour de Justice du Nigeria, au motif que le pénis de son mari est tout simplement trop «imposant ». Devant le juge, c’est un Ali perplexe et bien bousculé par cette rupture inopinée, qui ne comprend pas réellement ce dont il doit se défendre. Il déclare accepter le divorce à condition que sa dot lui soit remboursée ainsi que ses frais d’avant leur engagement. Il y en aurait pour quelque 60 000 nairas nigérians, soit environ 275 euros.

 

Pour sa défense, Ali aurait dû lire le Kâma Sutra aux juges, En effet, le classique recueil indien des positions de l’amour, évoque l’union difficile du sexe de la gazelle recevant celui de l’éléphant… Une union difficile, mais pas impossible puisque, ne l’oublions pas, le vagin est « conçu » pour pouvoir laisser passer la tête d’un bébé qui est forcément beaucoup plus large que le plus imposant pénis ! Mais la pauvre Aisha aurait-elle eu du plaisir à accoucher lors de chaque rapport sexuel ?

Ancienne actrice de X des années 80, reconvertie dans le journalisme et éditrice de sites Internet X. Sous pseudonyme dans un souci de discrétion, mais toujours bien informée des dessous du milieu.

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