Le top des actrices bodybuildées

Les pornstars fit ? Mouais. Athlétiques ? Pas mal. Musclées ? On chauffe là, mais il y a mieux encore : les performeuses bodybuildeuses. Souvent matures, elles ont sculpté leur corps dans des proportions extraordinaires, possèdent une bouche de soie et des gros lolos autant qu’une étreinte d’ours. Malheureusement, elles ne sont pas encore au sommet du X comme le grand blanc l’est à celui de la chaine alimentaire. En attendant, on vous présente les plus emblématiques.

Angela Salvagno

La Californienne de 45 ans est taillée pour mettre une danse à Dwayne Johnson. En termes de musculature, c’est en effet un des modèles les plus impressionnants. Elle a gagné ses galons professionnels IFBB en remportant les championnats amateurs US en 2009. Au crépuscule de sa carrière, à partir de 2017, elle s’est mise à faire du charme et n’a pas lésiné sur l’investissement, devenant la pornstar bodybuildeuse la plus productive. Pour agrémenter d’un scénario ses work out à poil, enculades de cuck au strap on et autres séances de domination lesbienne, Angela Salvagno se grime parfois en Hulk et soulève des gros pickups Ford. Une femme à marier.

Samantha Kelly

Avec ses 1100 cc de liquide physio dans les nibards, qu’elle a montés sur un corps huilé et bétonné, Sam est le type de créature que chaque individu devrait goûter une fois dans sa vie avant de pouvoir mourir en paix. Cover girl pour une multitude de magazines de fitness, la native de Portland s’est mise à faire du hard en 2016 via des vidéos en solo qu’elle distribue sur son site perso. Et ce n’est pas parce qu’elle est seule que le résultat est pauvre. C’est incroyable ce qu’on peut faire en tête à tête avec une paire d’haltères !

Toochi Kash

Aussi connue sous le nom d’Italia Kash, la Californienne de 33 ans est une star des réseaux sociaux et compte presque six millions de followers sur Instagram ! Si on ne peut pas aller jusqu’à parler de bodybuildeuse la concernant, Toochi est une hardeuse occasionnelle qui s’envoie en l’air avec une masse tatouée quand ce n’est pas avec des blondes aux seins aussi volumineux que les siens. Distillant les vidéos avec parcimonie, histoire de faire monter leur valeur, Kash est une espèce de Tabatha moderne.

Goddess Rapture

À 36 ans, Rapture est une vraie domina qui profite réellement du plaisir qu’offre de gros muscles pour une femme : celui de rivaliser avec les mecs sur leur terrain. Bras de fer, coups de pied dans les glawis, étranglements en ciseaux : la maîtresse de Las Vegas est over the top. C’est aussi une grande adepte du funatari, une pratique qui consiste à jouer avec un énorme gode et à simuler que ce dernier est sa queue. Notez qu’il lui arrive de relâcher la pression et de se faire fesser. On est toujours le soumis de quelqu’un…

Lisa Cross

Championne du Royaume Uni de culturisme en 2010, la native de Manchester est dure au mal tel son compatriote en UFC, Michael Bisping. Face à Angela Salvagno, c’est une des rares qui puissent rivaliser niveau biscottos, en témoignent ses seins qui, même augmentés, ont été absorbés par ses pectoraux. Ses muscles, elle les utilise d’ailleurs pour soumettre tout ce qui est hominidé, n’oubliant jamais au passage de frotter son pénis, pardon, son clito, sur la gueule de ses victimes. Avec son accent très cockney et sa voix à la Barry White, Lisa a peut-être un poil forcé sur les stéroïdes, mais à 43 ans, elle reste une performeuse extraordinaire au sens propre du terme.

Yvette Bova

Une seule vidéo twittée suffit à se faire une idée de qui est Yvette. Celle qui est restée 13 ans dans l’US Air Force a même droit à sa page Wiki en Français, c’est dire. Multi-championne de bodybuilding militaire, Yvette a commencé à produire ses films à partir de 2005. Pour le coup, elle ne s’est pas contentée de faire son petit site perso, mais a fait bosser des stars pour des films ambitieux comme Agency, Land of the Amazons ou Sure Shot entre 2005 et 2010. À 59 ans, elle n’est toujours pas rangée et fait admirer ses séances de work out entre deux films de niche. Mais aussi célèbre soit-elle, pour l’instant, toujours pas de gif sur Yvette. 91.

Annie Rivieccio

Annie est la seule qui n’a pas de seins dans cette sélection, ce qui ne l’empêche pas d’avoir un sacré tour de poitrine puisqu’elle est de loin la plus primée chez les pornstars bodybuildeuses. 3^ème de Ms Olympia, la compète ultime chez les culturistes, championne des USA, vainqueur du New York Pro Championship et 4^ème des Arnold Classic and Internationals, Annie a été en outre membre de l’équipe olympique américaine d’haltérophilie. À côté de ça, il lui arrive de sucer des bites et de se faire lécher le cul. Une fois qu’elle a ce qu’elle veut, elle a une marotte : coincer la tête de ses soumis entre ses fesses jusqu’à ce qu’ils soient violets. À 59 ans, elle reste une femme étouffante.

Brandi Mae

Si un seul de ces modèles doit être considéré comme une pornstar, c’est Brandi Mae. La Texane a débuté en 2009 et elle est toujours active. Elle a bossé pour Kink, Pornstar Platinum, Aziani ou Femdom Empire pour un total d’une soixantaine de scènes, sans compter celles réalisées pour ses propres canaux. À 39 ans, elle s’est focalisée sur le Face Sitting, une pratique qu’elle connaît sous toutes les coutures suite à ses nombreux matches de wrestling porn où elle s’asseyait, triomphante, sur la tête de ses adversaires. Si vous voulez tout savoir du concept de PQ humain, il faut suivre Brandi.

Maria Garcia

L’Espagnole a fait un passage éclair entre 2013 et 2015, mais elle a laissé le souvenir d’une paire de seins démentiels (un 95HH…) et pas mal de vidéos où l’on a pu admirer de beaux restes depuis son passage dans la IFBB. Quand elle prenait le nom de Sheila Rock, c’était pour mettre à l’amende des soumis à coups de seins durs comme de la pierre. Et quand elle voulait la paix, elle leur faisait une prise du sommeil. Maria, prends-moi en pension à Malaga !

Melissa Dettwiller

Melissa a gravité dans le charme entre 2001 et 2012. En parallèle, elle se classait régulièrement parmi les 10/20 meilleures bodybuildeuses américaines lors des compétitions. Sa grande particularité est d’avoir été une fétichiste de la domination féminine, tendance masochiste. En bref, elle aimait être l’esclave de femmes encore plus matures et mastardes. À cette époque, c’est le studio Kink qui en a beaucoup profité. On raconte qu’après son retrait du fitness et du porno en 2012, elle s’est métamorphosée. On craint le pire, dix ans plus tard.