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Alyssia Vera. La fureur de vivre !

À 35 ans, Alyssia Vera a vu toutes les bonnes choses qui lui sont arrivées depuis qu’elle a dévoilé son intimité. Il était temps. Originaire d’un village du Kansas, cette belle brune a bien lutté avant de gagner sa place au soleil. Désormais, fini les fausses promesses, les mauvais compagnons et le background difficile : Alyssia a laissé le passé loin derrière.
Une beauté originaire du Kansas
Peut-être est-ce dû à mes années d’enfance passées devant J.R Ewing éructant sur Sue Ellen, mais j’ai une tendresse particulière pour la ville de Dallas. Ça a l’air chouette, Da-llas. Il y a les Cowboys, les Stars, les Mavericks de Luka Magic. Et à en croire la légende, la ville est sillonnée de mecs avec un bolo tie et de larges Stetson. Alyssia vit là-bas depuis dix ans. Une belle cougar se balade donc entre les buildings. Elle vient du Kansas, 900 kilomètres plus haut.
Des relations amoureuses compliquées
Si elle est arrivée au Texas, c’est par amour. Un amour nocif. Un énième. « J’ai suivi un homme ici et j’ai découvert qu’il avait 50 maîtresses, raconte-t-elle à Adult Talk. Je n’ai vécu que des relations chaotiques et longues où j’ai été trompée et violentée. Je viens d’un milieu conservateur où il y a des tabous autour des questions sexuelles. C’était même des questions diabolisées. J’étais comme un canevas vierge. J’avais tout à apprendre et les hommes que j’ai aimés en ont profité. Heureusement, j’ai rencontré celui qui est actuellement mon mari ». Alyssia ne pouvait définitivement pas tomber sur un mec lambda. Non, celui qu’elle va rencontrer va l’encourager à franchir le pas pour devenir une pornstar.
« Il m’a dit que ça l’exciterait de me voir sucer une autre queue. Je venais de relations toxiques. Je n’avais pas l’habitude d’autant de liberté. Rapidement, je suis allée chercher sur internet. Avant même de comprendre, je me suis retrouvée sur le canapé de Backroom Casting Couch. Le pire est que nous ne sommes même pas libertins ! On vient à peine d’évoquer l’idée de faire un trio avec une autre femme, car je suis très classique dans ma vie privée ».
Des relations familiales tendues
À 35 ans, Alyssia a donc vécu son quart d’heure américain et il continue, pas prêt de s’arrêter, aux antipodes de sa vie d’avant. « J’ai essayé d’être un exemple pour mes quatre sœurs. J’ai voulu avoir un travail honorable pour elles, être comme la figure maternelle que nous n’avions pas eue. Ma mère n’était pas une très bonne mère. Je l’aime, mais ce n’était pas un modèle. Mais mes sœurs n’ont pas été très reconnaissantes avec moi. J’ai compris que ce n’est pas parce que vous voulez faire le bien que vous faites du bien au monde. Avec mon dernier mari, j’ai découvert le lâcher-prise. L’amour simple et léger avec une touche de tendresse ». Ce dernier passe aussi par la sodomie. « Mon mari m’a déjà enculée à 90 miles à l’heure sur la Highway. Heureusement qu’on ne s’est pas fait arrêter ! » Mauvais point. 3, voire 4 de moins même !
Parfois chanteuse à ses heures perdues
On préfère qu’Alyssia soit confortablement allongée devant une caméra que sur un levier de vitesse. Ou qu’elle chante, tiens, puisque c’est son premier amour et son passe-temps favori. « Toute ma vie, j’ai voulu chanter. A l’âge de 18 ans, une espèce de vieux Sugardaddy a essayé d’en profiter en me faisant rêver, mais j’avais trop de dignité pour accepter son manège. J’étais à deux doigts de pouvoir chanter l’hymne national chez moi, à Kansas City, pour un match des Chiefs et alors qu’il est membre de l’organisation, il me demande mon Snapchat. Pourquoi a-t-il besoin de ça ? J’ai bien compris qu’il fallait que je passe à la casserole. Maintenant, je chante dans un petit groupe et pour mes fans quand ils me le demande ».
Une passionnée de fitness
Son second amour est le fitness. « Mais il m’a coûté ma poitrine ! Il y a six ans, j’ai fait une grosse compétition et j’ai perdu tout mon volume en séchant. Je n’avais pas d’autre choix que de les refaire », témoigne-t-elle à Jack d’Adult Talk. Cette habitude de la parade devant un parterre de juges lui a permis de se sentir à l’aise dès sa première scène. « Je n’ai ressenti aucune nervosité. Sur des concours de fitness, j’ai performé devant des centaines de personnes. C’est là où je me sens la plus forte ». Cette expérience dans le bodybuilding lui donne en tout cas une belle prestance et Alyssia commence à dépasser les tournages pour Texasmilfpov.com, Touchmywife ou Naughty America pour être bookée par des studios de grande envergure. On n’a donc pas fini de voir Vera et c’est tant mieux, car le X a besoin de performeuses d’expérience et bien charpentées intellectuellement.
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