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Ivy Ireland. MILF de caractère

La fusion entre le meilleur perso de Soul Calibur et l’un des pays les plus sympas du monde ne pouvait qu’accoucher d’un banger ! Ainsi naquit Ivy Ireland, 29 ans, fraîchement arrivée dans le X depuis le début de l’année dernière. Ses atouts ? De jolis yeux verts, de grandes dents carnassières et une généreuse croupe. Portrait d’une belle vorace.
Des débuts impressionnants
« Welcome to the Ivy League », annonce fièrement Ivy Ireland en guise de présentation sur Twitter. L’Ivy League est l’alliance des huit plus prestigieux campus américains au premier rang desquels Harvard, Yale et Princeton. La barre est haute. La native de Caroline du Sud a-t-elle les moyens de ses ambitions ? Pour le savoir, on peut se pencher sur la série de scènes qu’elle a accomplies depuis l’année dernière. Soixante pour être précis. Soixante scènes qui arrachent. Anal, double, creampie, squirt, deepthroat, ass-to-mouth : la grande brune aux yeux clairs n’est pas arrivée pour faire de la figuration. À son casting pour le poétique Backroom Casting Couch, elle avouait en préambule de sa prestation : « J’ai une passion pour le sexe et je suis exhibitionniste. J’adore baiser en public. Pourquoi ne pas gagner ma vie avec ? » Un raisonnement simple et efficace qui est révélateur de son caractère de fonceuse.
Une fonceuse dans l’âme
« Je ne connaissais pas une seule personne de ce milieu avant d’y rentrer, raconte-t-elle à Jack d’Adult Talk. J’avais zéro connexion, aucun plan, aucune idée par où je commencer. Ça m’a seulement pris deux semaines de recherches et un coup de fil à deux agents pour trouver ma place et débuter. Si j’ai pu me débrouiller seule, les autres le peuvent aussi ». Aujourd’hui chez 101 Modelling, Ivy Ireland vit à Orlando. Même sous le soleil floridien acidulé cher à Sunny Delight, elle est restée la jeune femme de la Caroline du Sud, au caractère aussi piquant que le piment local, le Carolina Reaper. « Le Sud coule dans mes veines. Jusqu’à l’âge de 15 ans, je n’avais jamais bougé de Charleston. J’ai les qualités et les défauts des Sudistes : je suis fidèle, loyal et charitable, mais aussi excessive et têtue ».
Une milf coquine
Derrière le discours, Ivy est une mère de famille, si l’on se fie à la cicatrice de sa césarienne et à la forme de ses seins, qu’elle ne devrait pas tarder à refaire comme c’est déjà le cas pour le nez. Sur ses plateformes, elle s’affiche souvent avec un homme dont il y a tout lieu de penser qu’il est son mari ou son compagnon. En tout cas, elle lui taille des pipes d’anthologie qui trahissent son attachement. « Ce qui me fait mouiller par-dessus tout est de me masturber sur mon propre porno, continue-t-elle au journaliste Captain Jack. Je suis très cochonne. J’aime chevaucher, l’anal, le sexe brut qui dégage de l’animalité et de l’énergie. C’est un sport. Un sport que j’aime et qui me procure du plaisir pendant et après. Tout est bon dans le sexe et je suis une élève très appliquée. Je n’ai pas peur de faire des efforts ! Et après l’effort, rien ne vaut une bonne bière ! »
Un corps de rêve
Ivy Ireland ne fait pas le sémaphore quand elle baise, on l’a bien compris. Athlétique, souple et endurante, elle a sculpté son corps à la salle de gym qu’elle fréquente chaque semaine. « J’ai un gros programme de fitness et de cardio. Si j’ai une faiblesse, elle est plutôt sur la nourriture. J’ai un pizza butt ! Je fais n’importe quoi. J’avale les pires cochonneries et jusqu’à maintenant, je n’ai jamais surveillé mon poids. Je sais que je dois changer, mais je ne suis pas encore prête à tous les sacrifices ». Qu’elle ne se flagelle pas trop, du haut de son mètre 70, elle affiche une belle silhouette et son fessier est une ode à la sodo.
Un avenir incertain
Avec un pétard pareil, elle devrait même être sollicitée du côté de Phoenix et tourner pour Dogfart, le spécialiste de l’interracial. Tant qu’à faire, elle pourra prendre dans ses valises la grande amie qu’on lui connaît dans le milieu : Lindsey Lakes, une Milf blonde totalement possédée, qui raffole de l’anus autant qu’Ivy. Quand elle s’est fait larguer en décembre dernier, Ivy fut présente pour la soutenir et la remonter moralement. Ça crée des liens. Néanmoins, à ce stade précoce de sa carrière, nul ne sait si Ivy Ireland est partie pour durer.
À 29 ans, les studios la bookent pour des rôles de mère de famille qui couche avec son beau-fils. De plus, elle en a montré beaucoup dès le départ, ce qui n’est pas réputé être une stratégie gagnante sur le long terme. Mais la Sudiste est comme ça. Spontanée, elle ne calcule pas. Cette Ivy League là n’est pas celle de Princeton.
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