Actrices
Bella a tout d’une grande

Bella Rolland toise nombre d’hommes du haut de son mètre 86, mais ça ne l’empêche pas d’être super sympa et accessible. Arrivée dans le monde du divertissement pour adultes il y a cinq ans sur la pointe des pieds, la timide Californienne a conquis les prods avec ses capacités hard. Plus qu’une grande cheminée, Bella est carrément un haut-fourneau. Elle méritait donc bien son grand format.
Un physique impressionnant
Son sourire rayonne, son bassin est large et maternel, ses seins lourds et naturels. Pourtant, lorsque l’on regarde une photo de Bella Rolland, la première chose qui choque, c’est la taille de ses orteils. Qu’on les baptise grecs ou égyptiens, ses pieds sont démesurés, du 44/45 facile. La pauvre doit galérer pour trouver chaussure à son pied alors que paradoxalement, ce ne sont pas les prétendants qui manquent. Originaire de Sacramento, capitale de la Californie, Bella Rolland fêtera ses 31 ans le 11 juillet prochain.
Du mannequinat à la Webcam
Elle a commencé dans le mannequinat, rien de plus logique au vu de sa taille, relativement exceptionnelle pour une femme. Malheureusement, cet atout n’a pas suffi à la faire défiler pour la Fashion Week milanaise et les factures se sont empilées comme elle l’avoue en interview : « Le modeling, ça ne paye pas. Ça m’a juste aidée à me faire un portfolio et encore, il m’a pris des années. Et puis j’étais jeune, mon corps et mon look étaient en constante évolution. Il y a deux ans, j’ai tout lâché pour travailler dans une clinique vétérinaire. ». C’est alors que son mec lui souffle l’idée du Snapchat Premium. Il est le mieux placé pour connaître la nature libidineuse de l’animal : ils baisent non-stop et s’envoient des selfies onanistes ce qu’il reste du temps. L’idée met peu de temps à faire son chemin. Elle se crée un compte Snap et en parallèle, rejoint les rangs des webcameuses.
Au bout d’un certain temps, elle déchante : ce n’est pas parce que c’est du X que c’est plus simple d’y percer que dans le mannequinat. « J’étais arrivée à un palier. Je ne gagnais plus de followers. En même temps, je ne pouvais plus revenir à mon ancienne vie et travailler dans ma clinique. De toute façon, j’ai toujours été le vilain p’tit canard, le mouton noir, partout où je suis passée, alors rejoindre un milieu où les gens sont tous comme moi, ça me semblait nickel ! ». Alors qu’elle croyait que son mètre 86 allait lui ouvrir des portes, c’est tout le contraire qui se passe : « Quatre agences m’ont refusée, car elle ne savait pas quoi faire de moi. Elles pensaient que je serais impossible à booker à cause de ma taille ».
Une entrée fracassante dans le porno
Chez Motley Models, ils ne feront pas de chichi sur son physique de Valkyrie. Ils flairent son potentiel et l’accueillent à bras ouverts en 2019. Elle leur rendra la confiance accordée avec des performances à la hauteur de ses mensurations. Dès sa troisième scène, elle envoie le bousin dans le film Alien Probe pour le site Holed.com, où on la voit s’y faire combler par tous les trous. Pas de doute : Bella Rolland a un appétit et des prédispositions pour la sodomie, ce qu’elle confirmera définitivement dès sa scène suivante. Car dans Anal Heartbreakers 6, pour Evil Angel, le vétéran Mark Wood lui fait la totale : anal, facial, swallow et ass to mouth. Elle s’en sort avec brio et le bruit commence à courir dans la porn valley qu’une nouvelle Anal Queen est sur le marché. « Me faire prendre par le cul, c’est quelque chose que je fais naturellement dans ma vie privée confesse-t-elle. C’est avec un mec que j’ai rencontré sur Tinder que j’ai appris à aimer, comme quoi, tout peut arriver ! Il suffit de rencontrer la bonne personne et d’essayer avant de dire définitivement : j’aime ou je n’aime pas tel ou tel truc ».
Une vraie curieuse de l’industrie
Touche à tout, Bella Rolland se sent autant à l’aise dans le gros BDSM qui tâche que dans l’amour passionné. « J’ai expérimenté tout ce que le sado-maso pouvait proposer, y compris dans ma vie personnelle. Beaucoup d’hommes m’ont réclamé ce type de rapport, de par mon physique. Ça m’amuse, même si dans le fond, je suis plutôt une fille fleur bleue. J’aime me sentir proche de mon partenaire. Je préfère que ce soit tendre plutôt que des gorges profondes et tout ça. Après, la seule chose qui m’embête vraiment, c’est de parfois travailler avec des mecs plus jeunes. Je ne me sens pas trop à l’aise avec ça. Je préfère les mecs plus murs. Ma dernière relation avait 56 ans… ». Bella Rolland est une performeuse plus mature et intelligente que la moyenne.
En arrivant dans le X, elle savait parfaitement où elle mettait les pieds : « J’ai toujours eu une grosse consommation de porno. J’aime analyser les scènes, les attitudes des acteurs et les détails comme les angles de caméra et la lumière. Pour moi, c’est important aussi qu’il y ait une histoire excitante. Je tourne dans plein de scènes où le sexe arrive quasi instantanément, mais ce n’est pas ce que je préfère. C’est la mise en bouche qui fait tout ». Un jugement frappé au coin du bon sens et qui explique pourquoi elle approche désormais les 500 scènes.
-
Actricesil y a 2 jours
Ave Avery !
-
Acteursil y a 6 ans
Les plus grandes légendes du porno black
-
Actricesil y a 4 ans
Les plus gros seins du X
-
Actricesil y a 7 jours
[Vidéo #354] Georgia Koneva, pour le Meilleur et pour le Pire !
-
Actricesil y a 1 semaine
La longue route de C.J Miles
-
Actu/Newsil y a 3 ans
L’orgasme prostatique : mode d’emploi
-
Actricesil y a 5 ans
Les 20 Reines de l’anal
-
Actu/Newsil y a 5 jours
Et si l’ARCOM parvenait à atteindre ses objectifs ? Chaturbate et Pornovore plient à leur tour !