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Je teste des sextoys pour gagner ma vie

Dans le monde, et avec la population mondiale que la Terre abrite, une multitude de métiers surprenants existe, certains sont même presque incroyables, inenvisageables. C’est le cas de celui de Ducky Doolittle, testeuse de sextoys. Allier plaisir et travail, c’est son quotidien, puisqu’elle est essentiellement payée pour se masturber. Zoom sur une profession hors du commun, aussi inattendue qu’originale, son boulot pique la curiosité.
Ducky Doolittle est à l’origine d’un concept qu’elle nomme « l’orgasme au dollar ». Testeuse de sextoys, elle estime que, plus il existe de manières différentes d’utiliser un sextoy, plus il a de la valeur. Ses journées commencent souvent de la même manière, ouverture des colis et réception des nouveautés qu’elle doit tester. Entre cockrings, vibromasseurs, poupées et autres accessoires, la première question qu’elle se pose lorsqu’elle s’apprête à tester un nouveau jouet, c’est « comment vais-je baiser ce truc ? »
Son employeur, c’est le grossiste Komar, spécialisé dans la vente de produits liés au sexe depuis plus de 50 ans, de nombreux produits ont été commercialisés par eux. Des premiers films érotiques à la presse pour adultes, en passant – ou en se faisant passer dessus par – un sextoy devenu aujourd’hui une tendance sur laquelle il est bon de surfer. Depuis le début chez Komar, il y a un an, elle a eu l’occasion de tester un grand nombre de ses jouets. Dans ce boulot à responsabilités (effacez ce sourire sur le coin de vos lèvres), elle est à la tête de nombreux choix, notamment la sélection des sextoys qui valent ou non le coup d’être dans les stocks du distributeur.
Mais comment se voit-on proposer ce boulot ? Ou, du moins, quel parcours effectuer pour en arriver là ? Tous sont curieux. Elle travaille dans le sexe depuis plus de 26 ans. De vendeuse de sex-shop à éducatrice sexuelle, en passant par l’écriture et la publication de livres sur le sexe, voilà le parcours de cette femme extravagante. Travailler pour Komar était pour elle inattendu, mais pas refusable. Son mantra pour choisir les produits, c’est « donner des orgasmes à l’utilisateur ». Elle doit, pour cela, prendre en compte les différents goûts des futurs utilisateurs et, dans un monde où la multitude est synonyme de 2017, c’est parfois compliqué. Certains cherchent du bien-être, d’autre du luxe ou une expérience particulièrement mystique. C’est pour satisfaire le plus grand nombre qu’elle choisit une vraie palette de ce qui se fait en sextoys. Allant de la poupée gonflable au classique vibromasseur coloré en silicone.
Avant, le sextoy était presque fait pour un usage unique, donc de mauvaise qualité, comme pour pouvoir s’en débarrasser après utilisation. Aujourd’hui, le sextoy s’est imposé dans la culture commune, jusqu’à même voir Oprah vanter les mérites de certains jouets devant une Amérique ébahie… mais pas moins attentive. Une chose reste certaine, Ducky a encore de beaux jours devant elle… pour prendre son pied tout en exerçant sa profession.
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