Ave Avery !

Si l’industrie était un train, Avery Cristy serait dans le wagon de tête, celui des actrices sur lesquelles on peut miser une prod avec l’assurance que le travail sera bien fait et couronné de succès auprès du public. Performeuse complète et sans point faible, la blonde de Chicago affiche en prime ce petit supplément de classe. La saluer passait par un portrait.

Le rose lui va à ravir !

Une ascension fulgurante

Le turnover dans le porn est important. Chaque année, des dizaines d’Avery apparaissent et disparaissent. Mais des Avery Cristy, il n’y en a qu’une. Une seule avec autant de chien – niveau caractère – et un American Staff du nom de King. À 25 ans, l’ex-infirmière à domicile de Dayton, Ohio, s’est installée parmi les valeurs sûres du business américain. Vierge de toute activité liée au sexe lorsque son personnage apparait en octobre 2019, Avery est telle la pinup dont le loup de Tex… Avery est fou amoureux. Sexy sans tomber dans le vulgaire, le visage doux, les yeux bleues et le sourire éclatant, elle affiche en outre des proportions parfaites. « C’est la meilleure avec laquelle j’ai tourné. C’est aussi simple que ça, décrit le performeur italien Christian Clay à AVN en 2021. Je peux rester parler d’elle pendant des heures. Elle va être une all star ». Il ne s’était pas trompé. Trois ans plus tard, Avery tourne aux Caraïbes, prend et remet les trophées aux AVN Awards, rafle un contrat d’exclusivité avec la boite la plus prestigieuse de la Porn Valley.

Une vraie beauté

Si le X était une table de poker, Avery roulerait dessus. Autant d’attention doit forcément faire bizarre pour celle qui fut d’abord habituée à s’occuper des autres. « Je viens d’une famille de pros de la santé. Ma mère est infirmière. Ma grand-mère aussi. Elles m’ont transmis cette empathie, cette envie de m’occuper des autres. Je suis une donneuse. J’aime aider ». Au-delà de ça, le corps humain, l’anatomie et la physiologie m’ont toujours fascinée. Avant même la fin de mes études générales, j’ai obtenu mon CNA (Certified Nursing Assistant) et je suis devenue infirmière ».

On donne sa langue au chat ?

Une vraie battante

La jeune femme n’a jamais eu peur d’aller au turbin. Cinq mois à servir des tacos chez Taco Bell, des pintes dans un sport bar et à tenir la réception d’un hôtel où son père fait des extras ont, entre autres, forgé son caractère de battante.  « Dès que le boulot était fini à l’hôtel, je me reconcentrais sur l’école, enchaine-t-elle à Dan Miller. Mes parents ne me lâchaient pas et je les en remercie. Pour cette raison, tout ce qui m’arrive en ce moment, je le prends comme un bonus. Un jour, j’aurais peut-être à reprendre la vie que j’avais avant et j’y suis prête. Ça ne me fait pas peur ».

Miroir, mon beau miroir…

Une actrice reconnue pour ses talents

Heureusement, ce n’est pas demain la veille, même si en l’espace de six ans, la belle n’est pas loin d’avoir épuisé l’éventail de ce que peut faire une performeuse. Anal et Size Queen, cette pornstar grande par le talent, mais aussi par la taille (1m75), a réalisé tous ses fantasmes : « La première étape de ma carrière consistait à connaitre mes limites, à apprendre qui je suis vraiment. Comme beaucoup de femmes, je voulais avoir plusieurs mecs pour moi, c’est fait. Je voulais du sexe kinky avec des jeux de domination-soumission et j’ai été au-delà de ce que je pouvais imaginer. Là, j’entame la deuxième phase : essayer de fédérer les talents sur mon nom, multiplier les collabs et pourquoi pas découvrir les futures actrices ! On ne me changera pas. J’aimerais toujours aider ».

Avery Cristy nous dévoile son plus bel atout

Une empathie rare, comme rares sont celles qui peuvent se targuer d’être alpaguées par Vixen avant même de s’envoler pour leur première fois à Los Angeles. Avery eut droit à ce privilège, un contrat d’exclu pour se faire souhaiter la bienvenue. La confiance fut rendue et depuis, ils ne se quittent plus. Pour autant, la native de l’Ohio reste libre de travailler avec qui bon lui semble et elle ne se prive pas.

Encore un pour la route

Un bilan exceptionnel

Avec plus de 150 scènes à son actif, elle n’est certes pas la plus bosseuse, mais toutes ses prestations sont premium. Aucune chance de la retrouver chez DogFart sur un canapé rapiécé et cernée par les butors semi-pros, même si dans le fond, ça ne serait pas pour lui déplaire. « Je suis un peu hippie, racaille, cul-terreuse et peut-être un peu mignonne aussi, mais ce qui est certain, c’est que chez moi, tout n’est qu’authenticité et amour ! »

Avery Cristy nous dévoile son plus beau sourire !

En dehors des tournages, Avery partage son temps entre les activités de plein air comme la rando et le camping, les beaux jours, la lecture de polars et l’écriture lors des longues soirées d’hiver. Depuis la période Covid, la peinture et la guitare sont venues compléter la palette de ses hobbies. Aussi belle que spirituelle, Avery Cristy ne prête pas le flanc à la critique et n’offre aucune faille aux yeux du public. Ça doit être cela qu’on appelle une icône.