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Alcoolisé, il avale 35 pilules de Viagra !

Dans la série « Nos Anglais ont du talent », connaissez-vous Withernsea, petite station balnéaire du nord de l’Angleterre ? Parce que là-haut, un plâtrier a compris, depuis sa dernière beuverie, qu’il ne fallait pas avaler n’importe quoi… même pour rire.
Alors c’est vrai que dans le bâtiment, les journées sont rudes. Les ouvriers ne passent pas leur temps à taper sur un clavier d’ordinateur, comme certains de mes collègues, que je ne nommerai pas. L’été, ils ont le poil luisant, suant au soleil. L’hiver, ils sont, globalement, foutus comme nous et se les gèlent. Aussi on comprend que parfois, boire un petit coup… Bah c’est agréable. Nonobstant, notre client du jour, Daniel Medforth, aurait sans doute dû prêter un peu plus d’attention à la mention légale : « L’abus d’alcool est dangereux pour la santé ».
Eh oui, on peut, fourbu et harassé par une longue et pénible journée de travail, s’en envoyer un petit derrière la cravate avec modération [un type que je ne suis d’ailleurs jamais parvenu à rencontrer]. Aussi je comprends que ne l’ayant, lui non plus, pas croisé, notre plâtrier de 36 ans, marié et père de deux enfants, n’a pas su appréhender de manière correcte ses limites et a terminé la soirée… Plein comme une barrique, rempli comme une outre, bref… déchiré.
On boira du lait quand les vaches mangeront du raisin !
Mais là n’est pas le principal problème qu’a rencontré notre fumé ami. Non car quitte à dépasser ses limites, autant le faire à fond. Aussi de concours stupides en défis crétins, Daniel Medforth a passé la soirée en avalant, en plus des nombreux verres qu’il avait déjà dans le cornet, pas une ou deux, mais 35… pilules de Viagra pour rire.
Déjà, je me pose l’interrogation suivante, partant de mon expérience personnelle, comment peut-on… plus bourré que le tunnel de Fréjus au 15 août, avaler tant de comprimés, en quelques heures, sans immédiatement recracher tout ce que l’on a ingurgité depuis sa première communion ?
Il manque Hulk ? ! J’suis vert !
Mais le bougre y parvient ! Résultat des courses, comme il le déclare aux journalistes du Sun et du Mirror, venus l’interroger : « J’ai commencé à me sentir malade. J’ai eu des étourdissements, des hallucinations. Tout ce que je voyais, était coloré en vert. » Ça ne vous rappelle rien ? Un scientifique dans une série américaine des années quatre-vingt, qui dès qu’il se blesse ou qu’il s’énerve, ses yeux prennent la couleur bleue si spécifique à Tchernobyl et il déchire ses vêtements…
Car comme David Banner, Daniel Medforth sent, à ce moment-là, un muscle se réveiller puis se contracter. Et là, sous ses yeux emplis par la bovinitude de la poivrasse avinée, son pantalon se soulève sous la pression de ce chibre turgescent qui semble ne plus vouloir obéir à son maître.
Enfin froide ? Non ! Enfin raide !
Effrayé par cette gaule tant soudaine que non désirée, notre gugusse songe à rentrer dans ses foyers… et sur la béquille de surcroît ! Arrivé [après s’être sans doute accroché au moindre mur de la ville] à son logis, son épouse, plus inquiète de voir, chez son homme, une si incontrôlable virilité qu’ayant l’envie de s’y empaler sans anesthésie, décide, après que son priapique compagnon lui ait narré ses exploits, de l’emmener à l’hosto, craignant sans doute de se retrouver veuve et pas joyeuse dans les heures qui suivraient.
Eh oui, car apprenez que le Viagra est un vasodilatateur, soit, pour ceux qui n’ont pas fait médecine, une substance qui dilate les vaisseaux [veines et artères], permettant une amélioration du flux de la circulation sanguine. Mais à trop en absorber, le risque est que l’un de ces vaisseaux pète. Et bonjour, l’AVC [accident vasculaire cérébral] ou la crise cardiaque !
Un écart de conduite en état d’ébriété
Une fois arrivé aux urgences, il y passera cinq jours en observation, sous l’œil de médecins et d’infirmières au regard chafouin. Car même si ce cas n’est pas anodin mais inquiétant, c’est quand même, pour eux, une première. Alors bien évidemment pour ne pas se marrer, c’est compliqué, mais dès qu’ils sont convaincus que leur raidi patient ne risque plus de calancher… les nerfs lâchent et les rires envahissent ce sinistre étage des urgences. « Les médecins, malgré leur professionnalisme, tentaient de se maîtriser. » On se met d’ailleurs un peu à leur place et surtout à celle des infirmières qui ont dû subir pendant plusieurs jours cet obélisque dressée sous les draps.
Sorti d’affaire et dégonflé, l’épouse a pardonné à son homme cet écart de conduite en état d’ébriété, d’autant plus que la pauvre n’aura même pas pu profiter une seule fois du chibre tendu de son coquin copain. « Heureusement que ma femme a décidé de passer l’éponge là-dessus. Je comprends que j’ai vraiment été très, très chanceux. » Pour un homme qui a passé cinq jours la queue dressée, il a quand même vachement eu de la chatte ! Sans en avoir une…
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