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Les meilleurs films de Femdom

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L’époque est à l’expiation des péchés pour l’individu de sexe masculin. Et dans ce domaine, le porn a des scénars à revendre, de l’humiliation verbale aux coups de cravache dans la gueule, en passant par la fellation imposée. Tout est bon pour réduire les hommes au rang de chiffon. Passage en revue.

Maneaters 5 (Meanbitch)

Les mangeuses d’homme, un titre qui annonce la couleur. La série la plus célèbre de Glenn King est toujours l’occasion de mettre à l’honneur des castratrices triées sur le volet et ce cinquième numéro reste dans la tradition : Victoria June en vedette colle parfaitement à l’idée que l’on se fait de la harpie. Flanquée de Jada Kai, Courtney Taylor et Kennedy Kressler, la milf laisse libre court à ses plus bas instincts envers les bonshommes. Cela-dit, les perversions de la blonde sont classiques et ne vont pas effrayer le néo-spectateur : tenus en laisse, les mecs n’ont d’autre loisir que de bouffer les chattes. Dans le genre supplice, il y a bien plus méchant, mais ça reste bien réalisé et c’est tout ce qu’on demande.

 Wives in Heat (Kick Ass Pictures)

Ou Cum Eating Cuckolds 42 pour les habitués est une ode au cocufiage par Kate England et Sophia Grace. Sans être la série la plus quali, elle a le mérite de proposer les ingrédients essentiels au femdom : un mari cuckoldé, un rival à la peau noire et une femme assez heureuse en ménage pour laisser son amant jouir en elle et faire laper le surplus par son mari. Cet opus est également bien doté en termes de ménagères, dodues et matures comme en raffole le public.

She’s The Boss (MYLF)

Vu la multiplication des scandales de harcèlement sexuel, le porn n’est plus très chaud à l’idée de pondre des scénars avec des secrétaires. En revanche, quand ce sont les hommes qui sont les larbins de la DRH, ça passe crème. Impossible toutefois d’imposer une nymphette inexpérimentée en directrice : il faut du lourd. Les hommes doivent accepter de se plier dans l’espoir de garder leur emploi. Dans la production du studio MYLF, la patronne, el Reffe, the boss, c’est Lexi Luna. La latina aux longues jambes n’a pas eu à forcer son talent pour endosser le rôle. Elle est l’incarnation de la working girl, mais si elle a le privilège de la cover, les trois autres performeuses Bridgette B, Melissa Lynn et Ivy Lebelle ne sont pas mal non plus. Elles ont des seins énormes et sont dans la fleur de l’âge.

 Perversion and Punishment 14 (Severe)

Chez Severe, on ne s’emmerde pas à faire un choix. On met toutes les perversions dans le shaker, on secoue et en sortent les Perversion and Punishment. Evidemment, ce sont toujours les hommes qui prennent dessus, mais les bourreaux ne sont pas uniquement des femmes. Il y a aussi de beaux trans sévères comme Aubrey Kate qui obligent des mecs à en pomper d’autres. D’ailleurs, si ce 14ème volet est bon, il le doit aussi à son casting fourni au premier rang duquel trônent Victoria Voxx et Kiki Dare. P&P est donc une série plus hardcore que la moyenne, à réserver aux avertis, mais qui en donne pour son argent.

I Caught My wife Fucking The Help 5 (Devil’s Film)

Un casting all star, dominé par les opulentes poitrines des milfs Natasha Starr et Lauren Phillips, pour une prod assez drôle où des femmes de patrons et d’artisans cocufient leur mari avec des employés rustres et bien montés. Au programme : Blacks on Blondes, sodos et quiproquos. Le moral des employés qui va monter en flèche, mais ça se fera au détriment de la productivité et du capital…

Boss (Deeper)

Avec Deeper, elle réalisait déjà de beaux films sans avoir luxe de moyens, mais quand Kayden Kross a vu son studio être absorbé par le groupe propriétaire de Vixen, ses moyens s’en sont trouvés décuplés. Ce n’est donc pas moins de huit performeuses que dirige la compagne de Manu Ferrara dans ce Boss à l’ambiance très 50 Shades of. Et attention les morceaux : Riley Steele, Morgan Rain, Lena Paul, Gabbie Carter, Kenna James… Que de la performeuse d’élite sublimée par une lumière et une mise en scène assez remarquables.

TS Bosses (Transsensual)

Travailler sous les ordres d’un transsexuel, sexy comme une cadre de Manhattan et libidineux tel un bonhomme, ça vous branche ? TS Bosses permet de se faire une idée. Pour son incursion dans la niche, Dana Vespoli a eu les moyens. Comme la perversité, elle l’avait déjà, le résultat donne un film de transdom bien hardcore où les femmes à bite donnent dans le harcèlement sexuel sur des employés pas si récalcitrants que ça… Les réjouissances sont sodomites forcément et Lena Kelly est vraiment une belle garce. 

Office Freaks (West Coast)

Les histoires de cul au boulot ne connaissent ni les couleurs, ni les époques. Office Freaks est donc un film ethnique d’Alexander Devoe qui remonte à 2006 fait avec, par et pour un public afro. Les décors sont pas terribles, faut bien le concéder, mais les situations sont variées et surtout les actrices sont super bandantes. Mention spéciale à Jada Fire et Marie Luv qui prennent en otage Nat Turnher pour le baiser les yeux bandés dans un garage. Jada est éternelle. Comme Wesley Pipes dans une autre scène, aussi charpenté que le Passager 57.

Sweet Femdom Pegging 2 (Lance Hart Studios)

Nommé aux AVN Awards dans la catégorie « Meilleur film de Niche », SFP 2, à ne pas confondre avec les FFP2, donne à voir des hommes qui se font enculer par des femmes qui portent des gode-ceintures. Une bonne initiation à la pratique du switch. Les petits scénars sont ridicules et on a du mal à croire en une DRH qui reçoit en entretien d’embauche habillée avec un filet de pêche, mais on sent que Kat Dior, Casey Calvert et consorts se sont tous bien amusés sur le plateau, ce qui contribue à en faire un film qu’il serait dommage de manquer.

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